Je n'avais pas partagé mes lectures depuis longtemps. Les livres de la sélection mis à part, j'ai fait de jolies lectures.
Belles lectures Space !
Chuis pas Space ! ^^
Et ma liste de lectures est bien plus modeste que la tienne :-))
Je n'avais pas partagé mes lectures depuis longtemps. Les livres de la sélection mis à part, j'ai fait de jolies lectures.
Belles lectures Space !
Chuis pas Space ! ^^
Oups gourance dans les avatars ! Ils se ressemblent bien un peu ? Non ?
Excuse-moi !
Je n'avais pas partagé mes lectures depuis longtemps. Les livres de la sélection mis à part, j'ai fait de jolies lectures.
Belles lectures Space !
Chuis pas Space ! ^^
Oups gourance dans les avatars ! Ils se ressemblent bien un peu ? Non ?
Oui, enfin, si tu veux ;)
Et puis je dois terminer Jésuites de Jean Lacouture : intéressant, instructif, édifiant mais parfois un peu longuet, un peu poussif.
Le deuxième tome est en effet par moment longuet, je m'y suis repris à plusieurs fois. Les passages passionnants (comme cette histoire du Père Jésuite de Louvain qui s'était fait ami avec les indiens d'Amérique, à tel point qu'on a eu besoin de lui pour négocier avec Sitting Bull) alternent avec d'autres un peu moins intéressant, comme la vie dans les collèges provinciaux (avant que le petit père Combe ne fasse ses méfaits).
Il écrit très bien mais parfois il s'écoute parler (si on peut dire).
Un petit bonjour d'Italie oú je viens de terminer Fable d'amour d'Antonio Moresco qui est de toute beauté et que je vous recommande chaudement!
J'ai également lu Petite table sois mise! D'Anne Serre qui est un livre fort et puis j'ai terminé La Montagne magique, la dernière partie est éblouissante et la toute fin magnifique. Trois livres que je n'oublierai pas en tout cas, pour des raisons très différentes.
J'ai également lu Petite table sois mise! D'Anne Serre qui est un livre fort et puis j'ai terminé La Montagne magique, la dernière partie est éblouissante et la toute fin magnifique. Trois livres que je n'oublierai pas en tout cas, pour des raisons très différentes.
Oui, il s'écoute un peu parler mais, surtout, il sait tout ! Et il veut qu'on le sache. Ça fait un peu trop de surcharges qu'on oubliera quand même. Sinon, ces aventures des Jésuites aux Indes, au Japon, en Chine (j'en suis toujours au tome I), sont de vrais romans d'aventures comme on n'oserait pas les inventer...
Et puis je dois terminer Jésuites de Jean Lacouture : intéressant, instructif, édifiant mais parfois un peu longuet, un peu poussif.
Il écrit très bien mais parfois il s'écoute parler (si on peut dire).
Le Lys dans la vallée de Balzac. Un bain de classique de temps à autre, ça revigore (surtout quand c'est choisi).
Tiens, tu me donnes l'envie de le reprendre et, cette fois-ci, je vais essayer de le terminer. Je l'avais commencé... oh! quand j'avais ton âge... Maintenant, j'ai peut-être un peu plus de patience. On verra. Comme tu dis, un peu de classique, ça fait du bien!
Patience pour supporter le platonique de leur relation? C'est drôle, alors que cela m'avait mis hors de moi dans La Porte étroite de Gide, ici j'ai lu sans remous, avec un intérêt assez poli, quelques frissons. Plutôt du plaisir, mais qui tient aussi beaucoup au plaisir du retour dans le passé, avec le cirque de la Restauration.
C'est amusant de comparer les lectures ; moi j'aimais bien La Porte étroite, une belle histoire, bien imaginée, amusante à lire mais rien d'inoubliable. Rien en comparaison du majestueux Lys dans la Vallée. On s'y attache tellement c'est bien écrit. C'est le genre de livre qu'on devrait lire tout haut.
Par ailleurs, j'ai partagé ton enthousiasme pour Les Russkoffs – que j'ai lu il y a très longtemps mais qui m'avait marqué. Quoique j'avais trouvé les descriptions des ébats amoureux de Cavanna un peu... heu ! un peu trop crus quand même ! A tout prendre, je préfère ceux de Balzac dans Le Lys, quoique un peu ampoulés. : trois pages pour décrire les belles épaules de la comtesse...
Patience pour supporter le platonique de leur relation? C'est drôle, alors que cela m'avait mis hors de moi dans La Porte étroite de Gide, ici j'ai lu sans remous, avec un intérêt assez poli, quelques frissons. Plutôt du plaisir, mais qui tient aussi beaucoup au plaisir du retour dans le passé, avec le cirque de la Restauration.
C'est amusant de comparer les lectures ; moi j'aimais bien La Porte étroite, une belle histoire, bien imaginée, amusante à lire mais rien d'inoubliable. Rien en comparaison du majestueux Lys dans la Vallée. On s'y attache tellement c'est bien écrit. C'est le genre de livre qu'on devrait lire tout haut.
Mon souvenir est très ancien mais j'avais trouvé cette porte vraiment très, très, étroite, c'est tout ce qu'il me reste de cette lecture.
J
Oui, enfin, si tu veux ;)
Si tu veux, je veux, mais ce qui est sûr c'est que la liste de lectures étaient alléchante.
Après un copieux bain d'histoire du nord de l'Inde (River of Fire), je viens de commencer 'Train to Pakistan' de Khushwant Singh, un roman qui se déroule dans l'état du Pendjab à l'époque de la partition (1947).
Une fois la lecture de 'Train to Pakistan' terminée je m'étonne que ce livre n'ait pas été traduit en français. Il est court, clair, accessible, bien conçu et illustre fort bien la situation qui aura prévalu à cette époque (1947).
Dans la suite...tentant de choisir des livres écrits par des auteurs nés dans divers états de l'Inde et écrivant dans diverses langues, j'hésite (pour le moment) entre deux ou trois alternatives.
J'ai bouleversé mon plan de lecture pour entamer La Sposa giovane (la jeune épouse) d'Alessandro Baricco, acheté en vacances.
Pas de problème de compréhension pour l'instant. C'est l'histoire d'une jeune fille qui débarque un jour dans une famille de riches industriels un peu loufoque en se présentant comme la "jeune épouse"; plus précisément elle doit épouser le fils de la famille, comme convenu il y a longtemps entre les deux familles (la sienne et celle dont il est question) maintenant qu'elle a dix-huit ans.
Sauf que le fils en question n'est pas là....(en Angleterre).
Les personnages sont bien campés (la mère à côté de la plaque, l'oncle qui dort tout le temps et ne se réveille que quand il a une fulgurance, il déclame ce qu'il a à dire et se rendort aussitôt, le père qu'il faut ménager car cardiaque etc.) et le narrateur nous explique que s'il relate cette histoire (dont il a été témoin), c'est parce qu'il l'a décidé mais aussi parce que c'est son métier de le faire.
J'aime beaucoup.
Pas de problème de compréhension pour l'instant. C'est l'histoire d'une jeune fille qui débarque un jour dans une famille de riches industriels un peu loufoque en se présentant comme la "jeune épouse"; plus précisément elle doit épouser le fils de la famille, comme convenu il y a longtemps entre les deux familles (la sienne et celle dont il est question) maintenant qu'elle a dix-huit ans.
Sauf que le fils en question n'est pas là....(en Angleterre).
Les personnages sont bien campés (la mère à côté de la plaque, l'oncle qui dort tout le temps et ne se réveille que quand il a une fulgurance, il déclame ce qu'il a à dire et se rendort aussitôt, le père qu'il faut ménager car cardiaque etc.) et le narrateur nous explique que s'il relate cette histoire (dont il a été témoin), c'est parce qu'il l'a décidé mais aussi parce que c'est son métier de le faire.
J'aime beaucoup.
Après un copieux bain d'histoire du nord de l'Inde (River of Fire), je viens de commencer 'Train to Pakistan' de Khushwant Singh, un roman qui se déroule dans l'état du Pendjab à l'époque de la partition (1947).
Une fois la lecture de 'Train to Pakistan' terminée je m'étonne que ce livre n'ait pas été traduit en français. Il est court, clair, accessible, bien conçu et illustre fort bien la situation qui aura prévalu à cette époque (1947).
Dans la suite...tentant de choisir des livres écrits par des auteurs nés dans divers états de l'Inde et écrivant dans diverses langues, j'hésite (pour le moment) entre deux ou trois alternatives.
Arundhati Roy ? Le Dieu des petits rien !
Le synopsis de la "jeune épouse" me tente beaucoup, ça a l'air un peu décalé.
J'ai terminé un gros roman de Wharton, son premier roman, The Valley of decision, bizarrement traduit en "Les amours d'Odon et Fulvia", et du coup me voila devant le dilemme de choisir le prochain livre (sachant que j'ai déjà entamé la biographie de Marie Stuart par S. Zweig, mais comme toujours j'aime bien avec quelques livres en cours).
J'ai terminé un gros roman de Wharton, son premier roman, The Valley of decision, bizarrement traduit en "Les amours d'Odon et Fulvia", et du coup me voila devant le dilemme de choisir le prochain livre (sachant que j'ai déjà entamé la biographie de Marie Stuart par S. Zweig, mais comme toujours j'aime bien avec quelques livres en cours).
Après un copieux bain d'histoire du nord de l'Inde (River of Fire), je viens de commencer 'Train to Pakistan' de Khushwant Singh, un roman qui se déroule dans l'état du Pendjab à l'époque de la partition (1947).
Une fois la lecture de 'Train to Pakistan' terminée je m'étonne que ce livre n'ait pas été traduit en français. Il est court, clair, accessible, bien conçu et illustre fort bien la situation qui aura prévalu à cette époque (1947).
Dans la suite...tentant de choisir des livres écrits par des auteurs nés dans divers états de l'Inde et écrivant dans diverses langues, j'hésite (pour le moment) entre deux ou trois alternatives.
Arundhati Roy ? Le Dieu des petits rien !
A. Roy est plutôt activiste et essayiste que romancière il me semble. Puis comme elle n'a publié qu'un seul roman (best seller), je n'ai pas retenu cet auteur dans ma sélection.
Pour tout dire, avant de faire ma sélection en littérature indienne, j'ai commencé par me constituer une liste d'auteurs. Sur cette liste, j'ai également compilé quelques informations au sujet de ces auteurs, dont le lieu de naissance, la langue d'écriture, etc. Une fois cela fait, j'ai vite compris que la plupart des auteurs indiens dont les noms nous sont familiers ou/et dont les livres nous sont proposés en librairie, écrivent en anglais et parmi ceux-là, on compte plusieurs expatriés. Afin de ne pas limiter mon choix à cette seule catégorie d'auteurs j'ai donc tenté d'établir une présélection sur la base du lieu de naissance, du lieu de résidence et de la langue d'écriture. Et c'est là que le choix devient plus limité car les auteurs ayant fait l'objet d'une traduction sont proportionnellement bien moins nombreux que ceux qui écrivent en anglais.
Il paraît que Le Tournant écrit autobiographique de son fils Klaus Mann est à lire.
Quand je me fais un conseil de lecture alors qu'il est déjà sur mes étagères .....
Après moults tergiversations, mon choix s'est porté sur Outre-Terre de Jean Paul Kauffmann.
Je n'ai lu qu'une cinquantaine de pages et je suis déjà accrochée alors que je ne portais pas un intérêt particulier sur le sujet Eylau, Napoléon.
Il m'a déjà donné l'envie de lire le Colonel Chabert.
J'aime décidément beaucoup le ton Kauffmann.
Pour les Promesses de l'aube, je confirme mes impressions. Je m'attendais à être emportée et ce ne fut pas le cas. Toutefois, il y a des paragraphes marquants sur sa mère et cet amour particulier qu'elle lui porte. Du point de vue de sa personnalité façonnée par sa mère et ses frères d'armes disparus, le livre est passionnant.
J'avais beaucoup aimé son livre sur Delacroix, je crois que c'est toi (ou était-ce Myrco) qui me l'avait conseillé lorsque j'allais visité Saint Sulpice à Paris (qui contient son plus célèbre tableau, la lutte avec l'ange). Si tu dis du bien de Outre-terre, je me laisserai bien tenter.
Livre amusant et malgré tout grave à propos de la littérature : 'Histoire de la littérature, tome 1" par Olivier Cadiot chez pol.
Mois amusant, mais bien écrit "Crâne" de Patrick Declerck pour lequel je prépare une critique.
A+
! Donatien, j'ai écouté aujourd'hui un podcast dans lequel intervenait Olivier Cadiot, ne serait-ce pas une histoire de la "littérature récente"? L'écouter donnait envie d'en lire plus.
Plongée avec allégresse dans Loin de la foule déchaînée, de Thomas Hardy. Je l'ai commencé parce que le titre m'évoquait ma retraite dans les Cévennes, mais voilà que je suis tout à fait séduite.
Plongée avec allégresse dans Loin de la foule déchaînée, de Thomas Hardy. Je l'ai commencé parce que le titre m'évoquait ma retraite dans les Cévennes, mais voilà que je suis tout à fait séduite.
Par ailleurs, j'ai partagé ton enthousiasme pour Les Russkoffs – que j'ai lu il y a très longtemps mais qui m'avait marqué. Quoique j'avais trouvé les descriptions des ébats amoureux de Cavanna un peu... heu! un peu trop crus quand même! A tout prendre, je préfère ceux de Balzac dans Le Lys, quoique un peu ampoulés; trois pages pour décrire les belles épaules de la comtesse...
Ah, c'est sur que c'est le jour et la nuit entre les deux. Et justement ça me réjouit, et que chacun excelle dans son registre.
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