C'est une blague???? Oh je te déteste, tiens....suis dans la salle, ça va commencer, si c'est une daube tu es maudit jusqu'à la dixième génération. En plus j'ai répandu la rumeur selon laquelle c'est fantastique!!
Ça partait d'une super bonne intention quand même !
Je m'immisce pour faire part de mon visionnement hier soir du film "Hemingway et Gellhorn" avec Clive Owen et Nicole Kidman. Un film déjà vu plusieurs fois mais que je revois toujours avec grand plaisir.
Oui, il jouait à la télé hier et je l'ai regardé en partie, il faudrait vraiment que je le visionne au complet un moment donné et aussi Pour qui sonne le glas avec Ingrid Bergman, inspiré de cette période.
Ça partait d'une super bonne intention quand même !
Mouais...tu t'es bien moqué de moi, mais en même temps, il est vrai qu'après tout c'est moi qui avais réclamé qu'on me dise que.
Et puis sans le savoir (ou en le sachant? Je reste dans le doute), tu as quand même tapé juste.
Il y a effectivement des plans qui vont me hanter très longtemps!! Certaines scènes peuvent choquer.
C'est un très très beau film (un tout petit peu trop long), onirique, symbolique, avec des images incroyables, du réalisme magique, de la cruauté et de l'humanité tout aussi intenses l'une que l'autre.
Jodorowsky revisite son enfance (et le petite garçon qu'il a été) avec son tyran de père dans un Chili rongé par la dictature militaire avec beaucoup d'audace. Mais ça fonctionne.
Ah bah tant mieux alors ! J'ai été voir la bande annonce après et c'est vrai que ça avait l'air bien. Mais aucune volonté de me moquer de toi, vraiment, c'était juste pour t'encourager alors que tu te démotivais. Ravi que tu aies passé une bonne soirée.
Alors merci finalement très gentil Stavro.
En fait, si je n'avais pas consulté mon portable juste avant le film (cette manie, aussi, de toujours "consulter son portable" à tout bout de champ, comme si on n'attendait des nouvelles fantastiques toutes les demi-heures....!!!!) ça aurait été parfait!
En tout cas si tu as l'occasion de le voir, ne te prive pas, je pense sincèrement que tu aimerais. Après, dis-toi qu'il y a des plans qui te hanteront longtemps! ;-)
En fait, si je n'avais pas consulté mon portable juste avant le film (cette manie, aussi, de toujours "consulter son portable" à tout bout de champ, comme si on n'attendait des nouvelles fantastiques toutes les demi-heures....!!!!) ça aurait été parfait!
En tout cas si tu as l'occasion de le voir, ne te prive pas, je pense sincèrement que tu aimerais. Après, dis-toi qu'il y a des plans qui te hanteront longtemps! ;-)
"Il faut toujours éteindre son cinéma dans le portable" (proverbe yakoute)
En fait, si je n'avais pas consulté mon portable juste avant le film (cette manie, aussi, de toujours "consulter son portable" à tout bout de champ,
En fait, si je n'avais pas consulté mon portable juste avant le film (cette manie, aussi, de toujours "consulter son portable" à tout bout de champ,
"Il faut toujours éteindre son cinéma dans le portable" (proverbe yakoute)
:-)
J'aime bien.
(un "n" à enlever dans mon message précédent, je vous laisse faire)
Je m'immisce pour faire part de mon visionnement hier soir du film "Hemingway et Gellhorn" avec Clive Owen et Nicole Kidman. Un film déjà vu plusieurs fois mais que je revois toujours avec grand plaisir.
Oui, il jouait à la télé hier et je l'ai regardé en partie, il faudrait vraiment que je le visionne au complet un moment donné et aussi Pour qui sonne le glas avec Ingrid Bergman, inspiré de cette période.
Il y a aussi le film "Le soleil se lève aussi" réalisé en 1957 par Henry King avec Ava Gardner. Un de mes films préférés regardé lors de ma période Ava Gardner. ;-)
Vu "Fury" avec Brad Pitt (le producteur du film), Shia Leboeuf et quelques autres. Ah ces films de guerre ! Toujours les mêmes scènes ou presque, pas d'originalité, du sang, la mort, les méchant allemands, les douces femmes violentées par les vainqueurs. J'espérais une peu plus d'originalité avec ce film mais non, on se retrouve avec toujours les mêmes clichés. Pas une mauvaise réalisation, de l'action sauf pour le passage avec les deux femmes que j'ai trouvé long, une fin assez prévisible comme beaucoup d'autres situations d'ailleurs. Que dire de plus... Brad vieillit, est excellent acteur quand il veut, fabuleux même quand il est inspiré. Il porte le film sur ses épaules je dirais grâce à son talent et son argent. ;-)
En fait, si je n'avais pas consulté mon portable juste avant le film (cette manie, aussi, de toujours "consulter son portable" à tout bout de champ, comme si on n'attendait des nouvelles fantastiques toutes les demi-heures....!!!!) ça aurait été parfait!
Nous n'irons jamais au cinéma ensemble Sissi :(
En fait, si je n'avais pas consulté mon portable juste avant le film (cette manie, aussi, de toujours "consulter son portable" à tout bout de champ, comme si on n'attendait des nouvelles fantastiques toutes les demi-heures....!!!!) ça aurait été parfait!
Nous n'irons jamais au cinéma ensemble Sissi :(
Il y a grandes chances de toute façon!
:-)
Pendant le film je coupe tout, là je veux pas vous souler avec mes histoires mais ça a commencé en retard, présentation (très chiante) du festival corazon je sais plus quoi, après y'a une prof qu'est venue parler, une remise de prix de photos, une danseuse de flamenco, alors bon...mais après j'ai coupé bien sur.
A la vie est mieux que ceux qui en disent les critiques. L'alternance entre sujets graves et plus légers permet de souffler, le film est sensible et assez bien senti.
Par le titre allèché, nous sommes allés voir avec mon épouse "Les musées du Vatican en 3D"...
Las ! Pour une minute d'examen de telle sculpture, de telle peinture, on a droit simlultanément à un déluge de décibels sans rapport avec l'oeuvre, avec la mise en scène appliquée d'ordinaire aux navets de la science-affliction.... du "Star Trek" chez Leonard, du "Jurassic Park" chez Pompée. Piment sur le gâteau, la moitié du temps d'écran se déroule en présence d'un gugusse mal rasé qui joue au pantin animé dans une pénombre à la Hitchcock, tandis que diverses fumées, poussières et tas de sable agités semblent vouloir signifier au spectateur "attention, mystère et magie !". Et toujours le fracas d'un orchestre dirigé par un agité de la cafetière, au fil des mouvements de camera de la même eau.
L'Art ? Si c'est le tarif à supporter, nous eussions été mieux inspirés de nous plonger dans un bon livre,
Ce "film", pour la vision duquel le port de lunettes "ad-hoc" est nécessaire (soit dit en passant, la mirifique 3D n'est qu'illusion de jobard, elle n'apporte rien, sinoin en diminuant de moitié la luminosité...ce qui est LE péché capital en l'occurence : Raphaël ou Michelangelo en clair-obscur, NON !!) a été réalisé à la manière d'un documentaire sensationnaliste, avec les techniques de la pub ou du polar les plus grossières, pour un public d'imbéciles incultes.
C'est un film réalisé par des Etatsuniens, évidemment (un Chinois ou un Japonais n'auraient jamais commis pareilles fautes de goût) s'adressant au public majoritaire chez eux : porteurs de flingues mâcheurs de gomme chez qui le mot "culture" s'exprime en centaines d'hectares.
Bref, divisez par deux ou trois le temps effectif consacré véritablement à la substance de musées en question (et encore : commentaires banals et oiseux)... ET BOUCHEZ-VOUS LES OREILLES, car si on fournit les lunettes, les boules "Quiès" ne figurent pas dans le prix du billet.
Las ! Pour une minute d'examen de telle sculpture, de telle peinture, on a droit simlultanément à un déluge de décibels sans rapport avec l'oeuvre, avec la mise en scène appliquée d'ordinaire aux navets de la science-affliction.... du "Star Trek" chez Leonard, du "Jurassic Park" chez Pompée. Piment sur le gâteau, la moitié du temps d'écran se déroule en présence d'un gugusse mal rasé qui joue au pantin animé dans une pénombre à la Hitchcock, tandis que diverses fumées, poussières et tas de sable agités semblent vouloir signifier au spectateur "attention, mystère et magie !". Et toujours le fracas d'un orchestre dirigé par un agité de la cafetière, au fil des mouvements de camera de la même eau.
L'Art ? Si c'est le tarif à supporter, nous eussions été mieux inspirés de nous plonger dans un bon livre,
Ce "film", pour la vision duquel le port de lunettes "ad-hoc" est nécessaire (soit dit en passant, la mirifique 3D n'est qu'illusion de jobard, elle n'apporte rien, sinoin en diminuant de moitié la luminosité...ce qui est LE péché capital en l'occurence : Raphaël ou Michelangelo en clair-obscur, NON !!) a été réalisé à la manière d'un documentaire sensationnaliste, avec les techniques de la pub ou du polar les plus grossières, pour un public d'imbéciles incultes.
C'est un film réalisé par des Etatsuniens, évidemment (un Chinois ou un Japonais n'auraient jamais commis pareilles fautes de goût) s'adressant au public majoritaire chez eux : porteurs de flingues mâcheurs de gomme chez qui le mot "culture" s'exprime en centaines d'hectares.
Bref, divisez par deux ou trois le temps effectif consacré véritablement à la substance de musées en question (et encore : commentaires banals et oiseux)... ET BOUCHEZ-VOUS LES OREILLES, car si on fournit les lunettes, les boules "Quiès" ne figurent pas dans le prix du billet.
Par le titre allèché, nous sommes allés voir avec mon épouse "Les musées du Vatican en 3D"...
Las ! Pour une minute d'examen de telle sculpture, de telle peinture, on a droit simlultanément à un déluge de décibels sans rapport avec l'oeuvre, avec la mise en scène appliquée d'ordinaire aux navets de la science-affliction.... du "Star Trek" chez Leonard, du "Jurassic Park" chez Pompée. Piment sur le gâteau, la moitié du temps d'écran se déroule en présence d'un gugusse mal rasé qui joue au pantin animé dans une pénombre à la Hitchcock, tandis que diverses fumées, poussières et tas de sable agités semblent vouloir signifier au spectateur "attention, mystère et magie !". Et toujours le fracas d'un orchestre dirigé par un agité de la cafetière, au fil des mouvements de camera de la même eau.
L'Art ? Si c'est le tarif à supporter, nous eussions été mieux inspirés de nous plonger dans un bon livre,
Ce "film", pour la vision duquel le port de lunettes "ad-hoc" est nécessaire (soit dit en passant, la mirifique 3D n'est qu'illusion de jobard, elle n'apporte rien, sinoin en diminuant de moitié la luminosité...ce qui est LE péché capital en l'occurence : Raphaël ou Michelangelo en clair-obscur, NON !!) a été réalisé à la manière d'un documentaire sensationnaliste, avec les techniques de la pub ou du polar les plus grossières, pour un public d'imbéciles incultes.
C'est un film réalisé par des Etatsuniens, évidemment (un Chinois ou un Japonais n'auraient jamais commis pareilles fautes de goût) s'adressant au public majoritaire chez eux : porteurs de flingues mâcheurs de gomme chez qui le mot "culture" s'exprime en centaines d'hectares.
Bref, divisez par deux ou trois le temps effectif consacré véritablement à la substance de musées en question (et encore : commentaires banals et oiseux)... ET BOUCHEZ-VOUS LES OREILLES, car si on fournit les lunettes, les boules "Quiès" ne figurent pas dans le prix du billet.
merci radetsky tu m'as bien fait rire :) j'adore ta critique
Toujours aussi mordant l'ours !
merci radetsky tu m'as bien fait rire :) j'adore ta critique
Moi aussi !
Mercî de ce compte rendu. J'ai un peu moins de regret de n'avoir pu y aller. Surtout à 12 Euros la séance.
Hier soir, j'ai revisionné pour la deuxième fois cette année, Taking woodstock. C'est un très bon film inspiré des quelques jours du plus grand festival de musique qui a réuni des centaines de milliers de hippies, mais surtout sur Elliot Tiber, l'organisateur du festival de Woodstock.
Merci à tous pour vos commentaires.
Nous rentrons justement d'une séance consacrée à "Mr Turner"... Rien à voir ! D'abord c'est un travail de Britanniques, et la patrie du grand Will et de Sir Laurence Olivier ne se permet pas de massacrer une oeuvre d'art.
On y parle...anglais (pour la VO) et aucun des tics standardisés propres aux acteurs étatsuniens ne pollue le jeu des acteurs.
Rien d'une hagiographie non plus : le personnage, odieux tant en public qu'en privé, est dépeint sans complaisance et la mise en scène est assez scrupuleuse ; quant à la photographie... le monsieur qui cadre, manie la caméra, a "fait" du Turner avec sa pellicule. Plus en tout cas que n'est présente une esquisse de pédagogie ou de trame proprement dite, sur l'histoire du peintre Turner en tant que tel. Bien sûr, le parti-pris du réalisateur, outre son illustration de qui était "Monsieur" Turner, a sans doute plus été un titillement de nos curiosités sur la genèse d'une oeuvre demeurée sans rivale, sinon bien plus tard chez les impressionnistes, les fauves ou les nabis dans d'autres registres. Il nous revient de creuser plus avant, d'y "aller voir" en quelque sorte.
Un génie de la lumière peut être aussi un sale type. A cette réserve près, on peut avaler les 2h20 du film sans envie de fuir.
Nous rentrons justement d'une séance consacrée à "Mr Turner"... Rien à voir ! D'abord c'est un travail de Britanniques, et la patrie du grand Will et de Sir Laurence Olivier ne se permet pas de massacrer une oeuvre d'art.
On y parle...anglais (pour la VO) et aucun des tics standardisés propres aux acteurs étatsuniens ne pollue le jeu des acteurs.
Rien d'une hagiographie non plus : le personnage, odieux tant en public qu'en privé, est dépeint sans complaisance et la mise en scène est assez scrupuleuse ; quant à la photographie... le monsieur qui cadre, manie la caméra, a "fait" du Turner avec sa pellicule. Plus en tout cas que n'est présente une esquisse de pédagogie ou de trame proprement dite, sur l'histoire du peintre Turner en tant que tel. Bien sûr, le parti-pris du réalisateur, outre son illustration de qui était "Monsieur" Turner, a sans doute plus été un titillement de nos curiosités sur la genèse d'une oeuvre demeurée sans rivale, sinon bien plus tard chez les impressionnistes, les fauves ou les nabis dans d'autres registres. Il nous revient de creuser plus avant, d'y "aller voir" en quelque sorte.
Un génie de la lumière peut être aussi un sale type. A cette réserve près, on peut avaler les 2h20 du film sans envie de fuir.
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