Enfin quand même, ce que fait le mari, tant dans l'accompagnement qu'à la fin, si c'est pas de l'amour... On voit bien qu'il n'y a là-dedans pas une once d'égoïsme ou de self-interest, c'est entièrement de l'amour et c'est ça qui est magnifique dans ce film - et c'est sûrement ce qui lui a évité de faire polémique malgré son sujet. Je l'ai vu avec ma mère, profondément contre l'euthanasie, et c'est un film qui l'avait profondément bouleversée et fait réfléchir au sujet.
Encore là, j'explore..
Egoïsme ou self-interest? Je ne saurais dire..c'est tellement complexe ..Et de toutes façons, peu importe, c'est la vision d'Haneke,puiqu'il a intitulé son film ainsi, ce n'est pas forcément celle du spectateur.
En tout cas, et là, il n'y a pas de spoiler ici, dommage, car certains n'ont pas vu le film, on peut voir ce que l'on veut dans la fin, de l'amour donc pour vous.. J'y vois autre chose. Ce n'est nullement le geste que je conteste, c'est la méthode.
Et d'autres choses m'ont frappée, d'ailleurs, l'exclusion quasi complète de l'entourage.
Le problème est peut être dans la définition du mot " amour" pour l'un ou pour l'autre?
J'ai lu dernièrement un livre islandais de Gudbergur Bergsson intitulé Deuil. Très beau livre. Qui m'a rappelé ce film.. Là, c'est de l'amour. Pour moi.
Egoïsme ou self-interest? Je ne saurais dire..c'est tellement complexe ..Et de toutes façons, peu importe, c'est la vision d'Haneke,puiqu'il a intitulé son film ainsi, ce n'est pas forcément celle du spectateur.
En tout cas, et là, il n'y a pas de spoiler ici, dommage, car certains n'ont pas vu le film, on peut voir ce que l'on veut dans la fin, de l'amour donc pour vous.. J'y vois autre chose. Ce n'est nullement le geste que je conteste, c'est la méthode.
Et d'autres choses m'ont frappée, d'ailleurs, l'exclusion quasi complète de l'entourage.
Le problème est peut être dans la définition du mot " amour" pour l'un ou pour l'autre?
J'ai lu dernièrement un livre islandais de Gudbergur Bergsson intitulé Deuil. Très beau livre. Qui m'a rappelé ce film.. Là, c'est de l'amour. Pour moi.
La méthode, Paofaia, je crois que ce n'est pas tellement important.... , et oui Stavro, il y a beaucoup d'amour dans ce film, Trintignant est formidable (et son personnage, et lui en tant qu'acteur), il est extrêmement digne, complètement dans la dévotion et je suis complètement d'accord avec tout ce que tu dis.
Le problème, comme je l'ai dit précédemment, c'est que le film a un petit côté "documentaire" qui est extrêmement louable, (parce qu'il faut montrer un peu ce que c'est, concrètement, que la fin de vie, au quotidien), mais qui m'a dérangée moi parce que tout ça, je l'ai vécu par deux fois il n'y a pas si longtemps, alors les toilettes, la personne que tu ne reconnais plus et dont il faut te faire un "pré-deuil" les inquiétudes, le fait de ne plus savoir quoi faire, les enfants et les parents qui en arrivent à s'engueuler parce qu'ils ne vivent pas forcément la chose de la même manière, le sentiment d'être dépassé, la tristesse, le qui-vive permanent, l'abattement, bref c'est ce qui a pris le pas sur le film, a le plus retenu mon attention, et j'avais pas envie de ça parce que c'est bon, quoi...
J'ai regardé tout ça avec beaucoup de dureté et d'amertume, je me suis beaucoup focalisée sur la fille (Isabelle Huppert) (en me disant que j'avais dû moi aussi être ingrate etc.etc.), et finalement "l'amour" est complètement passé à la trappe en ce qui me concerne, mais c'est une lecture complètement orientée du film, que je n'aurais sans doute pas dû regarder, en tout cas au moment où je l'ai regardé.
Le problème, comme je l'ai dit précédemment, c'est que le film a un petit côté "documentaire" qui est extrêmement louable, (parce qu'il faut montrer un peu ce que c'est, concrètement, que la fin de vie, au quotidien), mais qui m'a dérangée moi parce que tout ça, je l'ai vécu par deux fois il n'y a pas si longtemps, alors les toilettes, la personne que tu ne reconnais plus et dont il faut te faire un "pré-deuil" les inquiétudes, le fait de ne plus savoir quoi faire, les enfants et les parents qui en arrivent à s'engueuler parce qu'ils ne vivent pas forcément la chose de la même manière, le sentiment d'être dépassé, la tristesse, le qui-vive permanent, l'abattement, bref c'est ce qui a pris le pas sur le film, a le plus retenu mon attention, et j'avais pas envie de ça parce que c'est bon, quoi...
J'ai regardé tout ça avec beaucoup de dureté et d'amertume, je me suis beaucoup focalisée sur la fille (Isabelle Huppert) (en me disant que j'avais dû moi aussi être ingrate etc.etc.), et finalement "l'amour" est complètement passé à la trappe en ce qui me concerne, mais c'est une lecture complètement orientée du film, que je n'aurais sans doute pas dû regarder, en tout cas au moment où je l'ai regardé.
Et d'autres choses m'ont frappée, d'ailleurs, l'exclusion quasi complète de l'entourage.
.
Trintignant fait barrage entre sa femme et les autres. Et il protège tout le monde, ainsi.
Encore beaucoup d'amour là dedans, je trouve.
Je regarde présentement la série "Sherlock Holmes" mettant en vedette Benedict Cumberbatch que j'adore. Il est fabuleusement bon dans son rôle et possède une personnalité et un physique très intéressants. L'épisode intitulé "Scandale à Belgravia" est à mon avis le meilleur à date. La série n'est pas très longue, seulement six épisodes je crois.
Hier soir, j'ai aussi regardé le film de Guy Ritchie avec Robert Downey jr. et Jude Law. Je demeure mitigée, il me semble que les comédiens ne sont pas faits pour ces rôles, enfin j'aurais plutôt vu Jude Law en Sherlock qu'en docteur Watson. Est-ce un massacre ? Il me semble que oui malgré les décors extraordinaires. Le film tourne au film d'action indigeste trop souvent à mon avis mais tout de même, j'ai souri à plusieurs reprises car il est truffé d'humour assez réussi.
Hier soir, j'ai aussi regardé le film de Guy Ritchie avec Robert Downey jr. et Jude Law. Je demeure mitigée, il me semble que les comédiens ne sont pas faits pour ces rôles, enfin j'aurais plutôt vu Jude Law en Sherlock qu'en docteur Watson. Est-ce un massacre ? Il me semble que oui malgré les décors extraordinaires. Le film tourne au film d'action indigeste trop souvent à mon avis mais tout de même, j'ai souri à plusieurs reprises car il est truffé d'humour assez réussi.
Sissi, je vous ai répondu plus longuement par MP.
Difficile de ne pas "focaliser" sur la fille.. Maladroite, peut être, mais surtout qui ne sait pas où se situer. Peut être que ce couple fusionnel ne lui en a jamais donné l'occasion..
Difficile de ne pas "focaliser" sur la fille.. Maladroite, peut être, mais surtout qui ne sait pas où se situer. Peut être que ce couple fusionnel ne lui en a jamais donné l'occasion..
Répondu Paofaia, merci!
Vu "Minuit dans le jardin du bien et du mal".
Mais quel acteur ce Kevin Spacey! Il a une présence incroyable.
Vu "Minuit dans le jardin du bien et du mal".
Mais quel acteur ce Kevin Spacey! Il a une présence incroyable.
Merci pour votre réponse..
Oublions un peu Haneke, il est un peu.. pesant:)
Keyser Söze, vous voulez dire? :)
Un bon film de Clint Eastwood , effectivement. Il y avait aussi l'excellent Gandofini, qui, à force de s'énerver dans Les Sopranos, a fini par faire une crise cardiaque pour de vrai. Ca devait arriver..
Oublions un peu Haneke, il est un peu.. pesant:)
Keyser Söze, vous voulez dire? :)
Un bon film de Clint Eastwood , effectivement. Il y avait aussi l'excellent Gandofini, qui, à force de s'énerver dans Les Sopranos, a fini par faire une crise cardiaque pour de vrai. Ca devait arriver..
Vu un film de Philippe Béziat , Traviata et nous. Il a filmé les répétitions de La Traviata , présentée en 2011 au Festival d'Aix en Provence.
L'occasion d'abord de découvrir un metteur en scène absolument extraordinaire, Jean François Sivadier que j'aimerais retrouver ailleurs. Il a un regard sur les chanteurs-acteurs qui fait un bien fou. De l'humour, il réussit à donner l'impression qu'ils ont tout le temps du monde pour présenter cet opéra, il ne bouscule jamais personne, même si on le voit se ronger les ongles à certains moments.
Et un chef d'orchestre passionnant aussi,Louis Langrée, qui explique chaque variation écrite sur la partition de Verdi .
Natalie Dessay est égale à elle-même, bosseuse, amusante, pas star pour un sou.
On sent une ambiance de répétitions vraiment chaleureuse, ce n'est pas toujours le cas.
Ce que j'ai regretté, c'est que ce ne soit pas plus long, que ne soit pas plus développé par exemple le rôle de la pianiste répétitrice , une italienne dont je ne retrouve pas le nom.
Dans le bonus, des entretiens très intéressants avec Sivadier, Langrée, Natalie Dessay bien sûr , Ludovic Tezier et un jeune américain , Charles Castronovo , qui joue Alfredo. Il a expliqué son parcours, tout à fait surprenant! Au départ, rock plutôt, et puis toutes les chansons des Beatles . repéré par la chorale de son établissement scolaire, la musique dite classique lui cassait les oreilles, mais il y a pris goût et a tout appris, dit-il , en écoutant plusieurs heures par jour , des enregistrements de vieux chanteurs lyriques, morts pour la plupart, et en les imitant!
La bande-annonce:
http://allocine.fr/video/…
L'occasion d'abord de découvrir un metteur en scène absolument extraordinaire, Jean François Sivadier que j'aimerais retrouver ailleurs. Il a un regard sur les chanteurs-acteurs qui fait un bien fou. De l'humour, il réussit à donner l'impression qu'ils ont tout le temps du monde pour présenter cet opéra, il ne bouscule jamais personne, même si on le voit se ronger les ongles à certains moments.
Et un chef d'orchestre passionnant aussi,Louis Langrée, qui explique chaque variation écrite sur la partition de Verdi .
Natalie Dessay est égale à elle-même, bosseuse, amusante, pas star pour un sou.
On sent une ambiance de répétitions vraiment chaleureuse, ce n'est pas toujours le cas.
Ce que j'ai regretté, c'est que ce ne soit pas plus long, que ne soit pas plus développé par exemple le rôle de la pianiste répétitrice , une italienne dont je ne retrouve pas le nom.
Dans le bonus, des entretiens très intéressants avec Sivadier, Langrée, Natalie Dessay bien sûr , Ludovic Tezier et un jeune américain , Charles Castronovo , qui joue Alfredo. Il a expliqué son parcours, tout à fait surprenant! Au départ, rock plutôt, et puis toutes les chansons des Beatles . repéré par la chorale de son établissement scolaire, la musique dite classique lui cassait les oreilles, mais il y a pris goût et a tout appris, dit-il , en écoutant plusieurs heures par jour , des enregistrements de vieux chanteurs lyriques, morts pour la plupart, et en les imitant!
La bande-annonce:
http://allocine.fr/video/…
Ou plutôt téléfilm du moment.
Vu, il y a quelques temps à la TV "15 jours ailleurs" de Didier Bivel sur le thème du burn out, du pétage de plomb suite au surmenage. Didier Bourdon montre qu'il est un bon acteur même dans un registre dramatique. L'internement psychiatrique est abordé avec réalisme. Bourdon parvient à communiquer avec une jeune femme psychotique (excellente Judith Chemla). L'obsession de cette dernière est de retrouver son fils dont elle n'a plus la garde... Pas larmoyant, ne versant pas dans le patho, ce téléfilm montre aussi que chacun d'entre nous peut avoir à faire à l'hôpital psychiatrique de près ou de loin (dépression, tentatives de suicide de nos ado en constante augmentation...).
C'est une fiction qui mériterait une sortie dans les salles de cinéma.
Vu, il y a quelques temps à la TV "15 jours ailleurs" de Didier Bivel sur le thème du burn out, du pétage de plomb suite au surmenage. Didier Bourdon montre qu'il est un bon acteur même dans un registre dramatique. L'internement psychiatrique est abordé avec réalisme. Bourdon parvient à communiquer avec une jeune femme psychotique (excellente Judith Chemla). L'obsession de cette dernière est de retrouver son fils dont elle n'a plus la garde... Pas larmoyant, ne versant pas dans le patho, ce téléfilm montre aussi que chacun d'entre nous peut avoir à faire à l'hôpital psychiatrique de près ou de loin (dépression, tentatives de suicide de nos ado en constante augmentation...).
C'est une fiction qui mériterait une sortie dans les salles de cinéma.
Vu le remake du film francais Crime d'amour par Brian De Palma, Passion, avec Noomi Rapace (Millénium) et Rachel McAdams. Hum, personnellement, je n'ai été renversée par ni l'un ni l'autre, mais ça reste des films pas si mal à regarder comme ça, divertissant. Je dois dire que j'ai été impressionnée par le retournement dans le milleu de Crime d'amour, je ne l'avais pas venu venir. Je trouve que l'histoire était plus subtile aussi, beaucoup de non-dits comparé à l'autre, mais côté réalisation, je trouve que la version de De Palma était beaucoup mieux, visuellement, l'action plus resseré. Côté prestations, des deux côtés c'était couci-couça, forcées, mais pour McAdams c'était vraiment exagérée.
Crime d'amour (Alain Corneau, 2010) **
Passion (Brian De Palma, 2012) **
Crime d'amour (Alain Corneau, 2010) **
Passion (Brian De Palma, 2012) **
Kalie, ce téléfilm était salué partout dans la presse . Pas vu reste à espérer qu'il sortira en DVD?
Nance, j'ai vu les deux versions également, et ai nettement préféré le film de Corneau , plus subtil ai-je trouvé. Ou peut être était-ce aussi que je connaissais déjà l'histoire? En tout cas, l'image du De Palma est, c'est vrai, magnifique, mais justement un peu trop léchée, et quand je commence à m'intéresser à la déco de l'appartement, c'est fini. Enfin, pour l'histoire, l'appartement est pas mal du tout! Notamment tous ces rangements..:):)
Nance, j'ai vu les deux versions également, et ai nettement préféré le film de Corneau , plus subtil ai-je trouvé. Ou peut être était-ce aussi que je connaissais déjà l'histoire? En tout cas, l'image du De Palma est, c'est vrai, magnifique, mais justement un peu trop léchée, et quand je commence à m'intéresser à la déco de l'appartement, c'est fini. Enfin, pour l'histoire, l'appartement est pas mal du tout! Notamment tous ces rangements..:):)
Il faut dire que j'aime le style de De Palma (Phantom of the Paradise, Sisters, Carrie...), j'aime ses scènes avec écran divisés (utilisé pour la fameuse scène du millieu), ses couleurs. Dans Crime d'amour, j'ai trouvé les images et le ton un peu fades, je n'ai pas aimé les retours en arrière en noir et blanc, je crois que le spectateur pouvait comprendre sans ça. Mais oui, la version francaise était plus subtile en général, dans Passion tout est trop clairement dit, ça enlève le mystère.
j'aime ses scènes avec écran divisés (utilisé pour la fameuse scène du millieu),.
Ah oui! Ca a un nom, d'ailleurs, cette technique cinématographique, mais je ne sais plus lequel?
Quelque part dans votre forum cinéma ( c'est long!!!), Stavroguine demande si quelqu'un a vu La femme aux cinq éléphants.
Oui, oui, je l'ai vu il y a un an, je crois.
C'est un très beau portrait de femme . De femme au parcours sans doute peu ordinaire, mais surtout de femme !
Svetlana Geier est une traductrice allemande d'origine ukrainienne qui a entrepris depuis le début des années 90 de se confronter aux 5 éléphants que sont les 5 principaux romans de Dostoïevski.
Mais de l'oeuvre de Dostoïevski, on entend assez peu parler, finalement. C'est surtout son histoire à elle qui est passionnante.
En fait, il faudrait revoir plusieurs fois ce documentaire, à la fois très beau sur le plan esthétique, et plein d'images métaphoriques sur la traduction bien sûr , exprimer par sa propre voix l'écriture et la pensée d'un autre ( et ici, dans une langue qui n'est pas la sienne) .
Souvenirs d'un peintre dont elle parle pour expliquer que rien n'est simple, Igor Grabar, qui peint des paysages de neige en utilisant toutes les couleurs de sa palette, mais jamais une touche de blanc..
Et d'un poème de Vladimir Soloviev, qu'elle récite, et que j'avais copié:
Chère enfant, ne vois-tu pas
Que tout ce que nous voyons
N'est qu'un reflet, n'est qu'une ombre
De ce qui est invisible à nos yeux?
Chère enfant, n'entends-tu pas
Que le fracas de la vie quotidienne
N'est que l'écho déformé
Des harmonies triomphantes?
Chère enfant, ne sens-tu pas
Que seul importe sur terre
Ce qu'un coeur dit à un coeur
Dans un message silencieux?
A voir, vraiment, c'est un film de Vadim Jendreyko.Il est disponible en DVD accompagné d'un livret contenant des textes de Jacques Catteau et André Markowicz
Merci ! J'essaierai de le trouver en DVD. Et joli petit poème, en plus.
Ah oui! Ca a un nom, d'ailleurs, cette technique cinématographique, mais je ne sais plus lequel?
Split screens, je ne voulais pas dire le terme anglophone! :P J'ai vu dernièrement Furie à Cinepop, mais il n'y avait pas de split screens dedans, sauf la scène en slow-motion qui m'a beaucoup fait penser à celle du couronnement dans Carrie, il faut dire que la même actrice joue dans ces scènes, difficile de ne pas faire le rapprochement.
The Wedding Party (1969) *
Sisters (1973) ****
Phantom of the Paradise (1974) *****
Carrie (1976) *****
The Fury (1978) ***
Scarface (1983) *****
The Untouchables (1987) ****
The Bonfire of the Vanities (1990) **
Carlito's Way (1993) ***
Mission: Impossible (1996) ***
Snake Eyes (1998) **
Mission to Mars (2000) *
Femme Fatale (2002) *
The Black Dahlia (2006) **
Passion (2012) **
"Kalie, ce téléfilm était salué partout dans la presse . Pas vu reste à espérer qu'il sortira en DVD?"
Oui, je pense car TOUT finit par sortir en DVD un jour.
"j'aime ses scènes avec écran divisés (utilisé pour la fameuse scène du milieu)"
"Ah oui! Ça a un nom, d'ailleurs, cette technique cinématographique, mais je ne sais plus lequel?"
Ecran divisé ou Ecran partagé dans la langue de Molière.
http://fr.wikipedia.org/wiki/…
J'aime également beaucoup cette technique.
Nance : j'ai revu récemment le chef-d’œuvre de Brian De Palma Phantom of the Paradise qui est vraiment un film hors norme. Malgré le poids des ans, la partition musicale reste superbe. L’interprétation de William Finley est inoubliable. Spolié, humilié, enfermé à Sing Sing, défiguré et aphone avant d’être emmuré vivant, le malheureux compositeur vient hanter le « Paradise », le Palais du Rock tenu par une créature diabolique interprétée par l’excellent Paul Williams. Cette version du mythe de Faust revue et corrigée est un incontournable du cinéma. Brian De Palma réalise de véritables prouesses techniques (passages en accélérés, cadrages bizarres, écrans partagés, superposition d’images comme les notes de musique qui défilent sur l’écran…). La musique au piano jouée par William Finley et la chanson interprétée par Jessica Harper sont toujours aussi belles. Même si les costumes style pattes d’éléphant font un peu kitsch de nos jours. J’ai relevé quelques menus défauts dans cette œuvre innovante et révolutionnaire : le leader du groupe de hard-rock ridicule (mais la scène, clin d’œil au « Psychose » d’Hitchcock, où le chanteur se fait clouer le bec sous la douche par une ventouse à toilettes est drôle), la laideur du concert de hard-rock au milieu du film ainsi que le spectacle final un peu carnaval. Cela n’est rien au regard de la qualité exceptionnelle du film.
(désolé encore des problèmes de balises)
Oui, je pense car TOUT finit par sortir en DVD un jour.
"j'aime ses scènes avec écran divisés (utilisé pour la fameuse scène du milieu)"
"Ah oui! Ça a un nom, d'ailleurs, cette technique cinématographique, mais je ne sais plus lequel?"
Ecran divisé ou Ecran partagé dans la langue de Molière.
http://fr.wikipedia.org/wiki/…
J'aime également beaucoup cette technique.
Nance : j'ai revu récemment le chef-d’œuvre de Brian De Palma Phantom of the Paradise qui est vraiment un film hors norme. Malgré le poids des ans, la partition musicale reste superbe. L’interprétation de William Finley est inoubliable. Spolié, humilié, enfermé à Sing Sing, défiguré et aphone avant d’être emmuré vivant, le malheureux compositeur vient hanter le « Paradise », le Palais du Rock tenu par une créature diabolique interprétée par l’excellent Paul Williams. Cette version du mythe de Faust revue et corrigée est un incontournable du cinéma. Brian De Palma réalise de véritables prouesses techniques (passages en accélérés, cadrages bizarres, écrans partagés, superposition d’images comme les notes de musique qui défilent sur l’écran…). La musique au piano jouée par William Finley et la chanson interprétée par Jessica Harper sont toujours aussi belles. Même si les costumes style pattes d’éléphant font un peu kitsch de nos jours. J’ai relevé quelques menus défauts dans cette œuvre innovante et révolutionnaire : le leader du groupe de hard-rock ridicule (mais la scène, clin d’œil au « Psychose » d’Hitchcock, où le chanteur se fait clouer le bec sous la douche par une ventouse à toilettes est drôle), la laideur du concert de hard-rock au milieu du film ainsi que le spectacle final un peu carnaval. Cela n’est rien au regard de la qualité exceptionnelle du film.
(désolé encore des problèmes de balises)
Tout finit par sortir en DVD? Heureusement pour moi, car les cinémas à Moorea.. n'existent pas!
Nance, une question, à Montréal, les films sortent sous leur titre anglais d'origine?
Nance, une question, à Montréal, les films sortent sous leur titre anglais d'origine?
Nance, une question, à Montréal, les films sortent sous leur titre anglais d'origine?
Très rarement, bien que les DVD ont souvent les deux langues incluses, il y a presque un titre français. Seulement je préfère ici donner les titres d'origine parce que les titres français québécois ne sont pas toujours les mêmes que la France, la Belgique...
presque toujours
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre