Pas vu "Johnny s'en va t'en guerre" mais sur les conseils de Merrybelle je vais l'enregistrer.
Et je vais aller au ciné, ces jours prochains, des lustres que je n'y suis pas allée, je ne sais pas ce qui est sorti récemment etc.
Si vous avez des tuyaux, n'hésitez pas.
Et je vais aller au ciné, ces jours prochains, des lustres que je n'y suis pas allée, je ne sais pas ce qui est sorti récemment etc.
Si vous avez des tuyaux, n'hésitez pas.
Pour ma part, j'ai tenté le visionnement de "Caligula" de Tinto Brass avec un scénario de Gore Vidal mettant en vedette Malcolm McDowell que j'ai bien aimé dans "Orange mécanique" mais là, ce film est épouvantable et les quinze minutes que j'ai regardées m'ont laissée un goût ou plutôt un dégoût profond. Je vais retenter le coup ce soir on verra mais je suis plutôt pessimiste... ;-(
C'est la version uncut ou la courte? Caligula, c'est un film dont j'aime plusieurs scènes (la machine à décapitation, la scène de la bague de Tibère, McDowell qui délire complètement...), mais moins l'ensemble (je préfère mes films péplums plus kitsch et moins explicite). C'est un des films préférés du vloggeur que j'aime beaucoup Brad Jones:
http://thecinemasnob.com/50/post/…
http://thecinemasnob.com/50/post/…
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La version non censurée il me semble. Enfin, hier soir j'ai regardé un vieux Hitchcock avec Cary Grant pour me remettre de mes émotions. ;-)
Je suppose que pour "Caligula", il faut être avertie avant de plonger mais je ne m'attendais pas à ce délire de fou ! ;-)
Pourtant, j'ai regardé "Spartacus" avec du sang et beaucoup de violence mais ce n'était pas de la violence gratuite et perverse comme dans ce film-ci. Les gladiateurs tuaient par obligation mais dans Caligula, on sent une perversion et une décadence assez répugnantes. Enfin, je vais sûrement le regarder mais je ne sais pas quand...
Je suppose que pour "Caligula", il faut être avertie avant de plonger mais je ne m'attendais pas à ce délire de fou ! ;-)
Pourtant, j'ai regardé "Spartacus" avec du sang et beaucoup de violence mais ce n'était pas de la violence gratuite et perverse comme dans ce film-ci. Les gladiateurs tuaient par obligation mais dans Caligula, on sent une perversion et une décadence assez répugnantes. Enfin, je vais sûrement le regarder mais je ne sais pas quand...
mais ce n'était pas de la violence gratuite et perverse comme dans ce film-ci
C'est vrai, mais ça se marie quand même bien avec les thèmes de la Rome décadente et de la folie de Caligula. C'est le délire total et le production du film a été un vrai désastre, enfin, ce n'est pas mon film préféré, mais j'aime beaucoup la musique, des reprises de classique comme Roméo et Juliette de Prokofiev, j'adorais le thème Spartacus (Khachaturyan) version disco, une chanson d'amour qui à l'air tout à fait normal jusqu'à temps que vers la fin on nous sort "we are one and the same, created by the same father, our love transcend time...", une chanson catchy mais euh, vraiment?! Je préfère danser sur du disco qui ne parle pas d'inceste, thank you very much:
http://www.youtube.com/watch?v=-sEMRAoMhf0
J'ai écouté Capote et Infamous à la suite, deux films excellents sur la même période De sang-froid de Truman Capote, je dois avouer que je préfère Infamous, le mal aimé. Philip Seymour Hoffman (décédé récemment) donne une prestation extraordinaire dans Capote et mérite son Oscar (Toby Jones dans Infamous est plus over-the-top), mais pour le film en soi, j'ai trouvé que Infamous plus de mon goût. Les acteurs qui interprètent tueurs sont mieux dans Infamous (Daniel Craig et Lee Pace), aussi je trouve Sandra Bullock (Infamous) plus sympatique en Harper Lee, mais Catherine Keener (Capote) a plus de chair, même chose pour le détective Dewey, mais mon coeur penche plus vers Infamous. Ça me donne le goût de lire De sang-froid bientôt.
Pour les séries c'est la galère présentement. J'ai abandonné "Defiance" car je suis déçue par le déroulement de l'histoire et on ne voit pas suffisamment Nolan... ;-)
J'ai donc débuté "Vikings" pour le fond historique. C'est pas mal mais le saccage du monastère au deuxième épisode me rend les personnages principaux fort antipathiques. Enfin, je vais voir si je continue ou si j'abandonne.
Philip Seymour Hoffman est sublime dans le film "Capote". Il est doucereux à souhait, un vrai régal ! ;-)
J'ai donc débuté "Vikings" pour le fond historique. C'est pas mal mais le saccage du monastère au deuxième épisode me rend les personnages principaux fort antipathiques. Enfin, je vais voir si je continue ou si j'abandonne.
Philip Seymour Hoffman est sublime dans le film "Capote". Il est doucereux à souhait, un vrai régal ! ;-)
Vu trois films les deux dernières semaines.
12 years a slave, qui ne m'a pas touché, bizarre que ce soit à la fois si lisse et si douloureux. Les images de carte postale entre les scènes ont fini par m'irriter, c'est dire. Mais je crois que déjà je partais sur une mauvaise base, j'avais envie de légèreté... or ce n'est pas le propos du film. On retrouve quand même la bravoure du réalisateur a faire de très longs plans (notamment quand il touche à peine terre/ceux qui ont vu le film comprendront).
Le Vent se lève. Là encore, je n'ai pas été aussi touchée que j'aurais pu l'être en d'autres circonstances, mais je trouve que c'est un dessin animé magnifique. Il prend son temps, il tournicote, il mêle deux plans (travail, amour... amour du travail). Vraiment beau.
Only Lovers Left Alive, alors waow. Dès le générique, il s'est passé quelque chose. C'est sublime, drôle (enfin, un drôle d'humour), poétique. Tellement beau que ça va au-delà de la beauté carte postale dont je parle pour 12 years a slave, c'est juste un univers qui s'ouvre dans notre univers. On m'avait dit qu'il ne s'y passait rien, mais c'est un rien très rempli. Un film filant la chair de poule, et ce n'est pas le côté 'vampire-suceur-de-sang' qui la provoque.
12 years a slave, qui ne m'a pas touché, bizarre que ce soit à la fois si lisse et si douloureux. Les images de carte postale entre les scènes ont fini par m'irriter, c'est dire. Mais je crois que déjà je partais sur une mauvaise base, j'avais envie de légèreté... or ce n'est pas le propos du film. On retrouve quand même la bravoure du réalisateur a faire de très longs plans (notamment quand il touche à peine terre/ceux qui ont vu le film comprendront).
Le Vent se lève. Là encore, je n'ai pas été aussi touchée que j'aurais pu l'être en d'autres circonstances, mais je trouve que c'est un dessin animé magnifique. Il prend son temps, il tournicote, il mêle deux plans (travail, amour... amour du travail). Vraiment beau.
Only Lovers Left Alive, alors waow. Dès le générique, il s'est passé quelque chose. C'est sublime, drôle (enfin, un drôle d'humour), poétique. Tellement beau que ça va au-delà de la beauté carte postale dont je parle pour 12 years a slave, c'est juste un univers qui s'ouvre dans notre univers. On m'avait dit qu'il ne s'y passait rien, mais c'est un rien très rempli. Un film filant la chair de poule, et ce n'est pas le côté 'vampire-suceur-de-sang' qui la provoque.
Only Lovers Left Alive, alors waow. Dès le générique, il s'est passé quelque chose. C'est sublime, drôle (enfin, un drôle d'humour), poétique. Tellement beau que ça va au-delà de la beauté carte postale dont je parle pour 12 years a slave, c'est juste un univers qui s'ouvre dans notre univers. On m'avait dit qu'il ne s'y passait rien, mais c'est un rien très rempli. Un film filant la chair de poule, et ce n'est pas le côté 'vampire-suceur-de-sang' qui la provoque.
Ah, je me tâtais pour aller le voir. J'adore Jarmush (Dead Man, Ghost Dog, Broken Flowers notamment), mais cette histoire de vampire ne m'emballait pas trop. Vais peut-être lui donner sa chance.
De mon côté, j'ai vu le dernier Wes Anderson, Grand Budapest Hotel, qui est vraiment excellent ! Du Wes Anderson pur jus, évidemment, mais vraiment à son paroxysme pour le coup. Avec toutes les facéties qui le caractérisent, mais aussi un scénario assez sympa, beaucoup d'humanité, des trouvailles et des références à foison, plein d'humour et d'inventivité, et bien sûr un casting aux petits oignons (qui peut faire venir Bill Murray pour un rôle de 5 minutes, donner trois réplique à Léa Seydou, et nous offrir Harvey Keitel dans un rôle comme il en tenait au début de sa carrière, mais avec l'ironie en plus). Un très bon moment !
Vu "Dans l'ombre de Mary" du réalisateur John Lee Hancock avec dans le rôles titre Emma Thompson (fabuleuse) et Tom Hanks (moyen).
Le film est intéressant car il raconte de quelle façon Walt Disney est parvenu à obtenir les droits d'adaptation du roman de Pamela Travers "Mary Poppins" pour en faire une adaptation cinématographique. Cela lui a pris plus de vingt années avant d'obtenir l'accord de l'écrivaine qui ne voulait absolument pas que ses personnages deviennent des dessins animés. Il a donc fallu tourner le film avec de vrais comédiens.
Un film touchant car de nombreux retours dans le passé nous font réaliser la dureté de l'enfance de Pamela aux prises avec un père alcoolique et fantasque mais elle l'adorait malgré tous ses défauts. Le personnage du père de Pam est joué par Colin Farrell toujours aussi beau et talentueux.
Un film à voir absolument même si beaucoup y ont trouvé quelques longueurs mais moi j'ai dégusté du début à la fin et je lui donne cinq étoiles. J'ai même failli verser une larme lors de la scène finale. ;-)
Le film est intéressant car il raconte de quelle façon Walt Disney est parvenu à obtenir les droits d'adaptation du roman de Pamela Travers "Mary Poppins" pour en faire une adaptation cinématographique. Cela lui a pris plus de vingt années avant d'obtenir l'accord de l'écrivaine qui ne voulait absolument pas que ses personnages deviennent des dessins animés. Il a donc fallu tourner le film avec de vrais comédiens.
Un film touchant car de nombreux retours dans le passé nous font réaliser la dureté de l'enfance de Pamela aux prises avec un père alcoolique et fantasque mais elle l'adorait malgré tous ses défauts. Le personnage du père de Pam est joué par Colin Farrell toujours aussi beau et talentueux.
Un film à voir absolument même si beaucoup y ont trouvé quelques longueurs mais moi j'ai dégusté du début à la fin et je lui donne cinq étoiles. J'ai même failli verser une larme lors de la scène finale. ;-)
En hommage à Alain Resnais, voici la bande-annonce de L'Année dernière à Marienbad. Il s'agit de l'adaptation du livre d'Alain Robbe-Grillet :
http://www.youtube.com/watch?v=yc6n2McMAnY
http://www.youtube.com/watch?v=yc6n2McMAnY
Dans un genre plus divertissant, voici quelques extraits de On connaît la chanson, où Sabine Azéma chante en play-back Résiste (et c'est un peu ce qu'on lui souhaite, courage, en tout cas) :
http://youtube.com/watch/…
http://youtube.com/watch/…
Je ne suis pas très fan de Resnais sauf un film que j'avais beaucoup aimé à sa sortie : Melo. C'était la grand époque d'Arditi, Azeman et Dussolier.
Pour Wes Anderson, je passe mon tour, je n'accroche pas du tout mais alors pas du tout à son univers.
Pour Wes Anderson, je passe mon tour, je n'accroche pas du tout mais alors pas du tout à son univers.
Vu "Dans l'ombre de Mary" du réalisateur John Lee Hancock avec dans le rôles titre Emma Thompson (fabuleuse) et Tom Hanks (moyen).
Le film est intéressant car il raconte de quelle façon Walt Disney est parvenu à obtenir les droits d'adaptation du roman de Pamela Travers "Mary Poppins" pour en faire une adaptation cinématographique. Cela lui a pris plus de vingt années avant d'obtenir l'accord de l'écrivaine qui ne voulait absolument pas que ses personnages deviennent des dessins animés. Il a donc fallu tourner le film avec de vrais comédiens.
Et c'est ce qui fait tout son charme, un de mes incontournables.
Le film sort apparemment la semaine prochaine en France, je vais jeter un oeil. Emma Thompson est une très bonne comédienne, qu'on voit trop peu malheureusement.
Pour ma part, je suis encore sous le choc de la vision des Portes du Paradis de Cimino, SA version.
Deuxième coup de coeur de l'année après The searchers.
Etourdissant, une mise en scène extraordinaire toute en cercles, une vision de l'ouest inédite, remplie de boue, de poussière, de fumées , de monde, de bruit et qui se termine dans le fracas. Non, le film se termine sur un épilogue glaçant.
Histoire basée sur des faits réels et très loin du mythe des cow boys.
Des propriétaires décident avec l'aval du Président d'armer 50 hommes pour tuer des émigrants d'Europe Centrale qui vivent dans le dénuement total et sont amenés à voler une vache pour survivre. Une liste de 125 personnes est établie.
En fait de paradis, c'est l'enfer qu'ils vivent et que nous montre le réalisateur.
Des plans magnifiques comme le train qui entre dans la ville, cette cohorte d'émigrants, des contre plongées, tout ceci servis par des paysages magnifiques.
Chef d'oeuvre !
Il ne me reste plus qu'à regarder les bonus et à me précipiter pour acheter le Blu Ray car il mérite au moins une seconde vision. Et j'espère avoir un jour la chance de le voir sur grand écran.
Deuxième coup de coeur de l'année après The searchers.
Etourdissant, une mise en scène extraordinaire toute en cercles, une vision de l'ouest inédite, remplie de boue, de poussière, de fumées , de monde, de bruit et qui se termine dans le fracas. Non, le film se termine sur un épilogue glaçant.
Histoire basée sur des faits réels et très loin du mythe des cow boys.
Des propriétaires décident avec l'aval du Président d'armer 50 hommes pour tuer des émigrants d'Europe Centrale qui vivent dans le dénuement total et sont amenés à voler une vache pour survivre. Une liste de 125 personnes est établie.
En fait de paradis, c'est l'enfer qu'ils vivent et que nous montre le réalisateur.
Des plans magnifiques comme le train qui entre dans la ville, cette cohorte d'émigrants, des contre plongées, tout ceci servis par des paysages magnifiques.
Chef d'oeuvre !
Il ne me reste plus qu'à regarder les bonus et à me précipiter pour acheter le Blu Ray car il mérite au moins une seconde vision. Et j'espère avoir un jour la chance de le voir sur grand écran.
Pour ma part, je suis encore sous le choc de la vision des Portes du Paradis de Cimino, SA version.
Deuxième coup de coeur de l'année après The searchers.
Etourdissant, une mise en scène extraordinaire toute en cercles, une vision de l'ouest inédite, remplie de boue, de poussière, de fumées , de monde, de bruit et qui se termine dans le fracas. Non, le film se termine sur un épilogue glaçant.
Histoire basée sur des faits réels et très loin du mythe des cow boys.
Des propriétaires décident avec l'aval du Président d'armer 50 hommes pour tuer des émigrants d'Europe Centrale qui vivent dans le dénuement total et sont amenés à voler une vache pour survivre. Une liste de 125 personnes est établie.
En fait de paradis, c'est l'enfer qu'ils vivent et que nous montre le réalisateur.
Des plans magnifiques comme le train qui entre dans la ville, cette cohorte d'émigrants, des contre plongées, tout ceci servis par des paysages magnifiques.
Chef d'oeuvre !
Il ne me reste plus qu'à regarder les bonus et à me précipiter pour acheter le Blu Ray car il mérite au moins une seconde vision. Et j'espère avoir un jour la chance de le voir sur grand écran.
Je l'avais vu au cinéma l'année dernière, je te rejoins sur tous les points. Ça fait peut être très midinette, mais mon cœur a fondu devant la scène de valse sous l'arbre du tout début. Sincèrement, j'aurais voulu que ça dure toujours.
Après avoir vu les Oscars, dont je n'ai vu aucun film nominé sauf Gatsby qui a gagné 2 oscars (décors et costumes), 12 Years a Slave a l'air intéressant quand même. Je me rapelle que certaines personnes ont aussi trouvé The Help trop lisse et paternaliste, mais 12 Years a Slave a l'air plus sérieux, bien que le type de prestation du clip qu'on a montré pour le meilleur acteur (Chiwetel Ejiofor) m'a plus fait penser à du théâtre (mais ce n'est peut-être pas représentatif de sa prestation entière et dans le contexte du film). American Hustle est un des films que j'ai plus le goût de regarder, Gravity je ne sais pas ce que ça va donner sur ma télévision! :P Ça m'a surpris qu'on ait pensé au critique Roger Ebert dans le In Memoriam.
Je vous conseille "Nebraska" pour une plongée dans Amérique profonde.
Belle réflexion sur la fin de vie, sur la vie dans les campagnes américaines. Tout cela dans un magnifique noir et blanc.
A des années-lumière du "Loup de Wall Street"!
Belle réflexion sur la fin de vie, sur la vie dans les campagnes américaines. Tout cela dans un magnifique noir et blanc.
A des années-lumière du "Loup de Wall Street"!
En parlant de noir et blanc, quelqu'un a-t-il vu Ida ? D'après les critiques c'est un film magnifique et poignant...
Vu. Vraiment un joli film. Il ne m'a pas marqué (j'ai déjà du mal à en parler), mais je me souviens d'un beau regard sur une relation entre deux femmes, la première voulant faire découvrir à le seconde les joies d'un monde qu'elle rejette elle-même. L'intrigue fille-de-juifs-exterminés-et-placées-au-couvent-qui-s'apprête-à-devenir-bonne-soeur-en-ignorant-la-foi-de-ses-parents n'est que secondaire : ce n'est ni un film sur la religion, ni un film sur la Shoah. Mais c'est le fil rouge qui justifie cette relation entre Ida et sa tante et leur permet de la développer. Un beau moment de ciné, avec une très jolie photo.
En parlant de noir et blanc, quelqu'un a-t-il vu Ida ? D'après les critiques c'est un film magnifique et poignant...
Cet apres-midi, en principe.
Voila 2 semaines que j'en reporte le visionnage, sachant que je vais encore en sortir avec le coeur au bord des yeux.
Comme j'ai vu, il y a peu, le film-documentaire, "Au bord du monde", j'avoue que celui-ci apres, c'etait au-dessus de mes capas actuelles.
Ce soir, pour amateurs, sur France Ô: " Orfeu negro".
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