Je viens de voir La Dolce Bellezza, de Paolo Sorrentino, .
La "grande" bellezza!
Moi j'y ai vu un film sur l'oisiveté et ses méfaits, et sur la dualité qui nous aime tous, à travers la Rome diurne et la Rome nocturne.
"anime", pas aime! :-)
Vu Johnny s'en va-en-guerre, et bien je n'ai pas aimé du tout, tant et si bien que j'ai arrêté au bout d'une heure.
Ras le bol de cette voix off (en français, ça doit jouer j'en conviens) de ces flashbacks que je ne trouve pas bons (longs, pas très émouvants ni intéressants...), des dialogues avec le Christ auxquels je ne crois pas etc.
Pas accroché du tout du tout, je me suis accrochée quand même....et comme je n'accrochais toujours pas et bien j'ai décroché :-)
Aaaah quel dommage ! C'est le film le plus bouleversant que j'ai pu voir et la fin prend aux tripes.
Bon tant pis. Nous aurons desormais les comedies musicales et Johnny comme point de divergence.
Je viens de voir La Dolce Bellezza, de Paolo Sorrentino, .
La "grande" bellezza!
Moi j'y ai vu un film sur l'oisiveté et ses méfaits, et sur la dualité qui nous aime tous, à travers la Rome diurne et la Rome nocturne.
Aussi.
Sinon, je continue dans la série des lapsus.
J'ai trouvé aussi très étrange cette histoire de nom changé. Surtout, à la fin, Jude Law voit une plaque funéraire avec le nom de sa belle gravé dessus et il en reste bouche bée. Alice n'est donc pas son vrai nom car à l'aéroport, elle présente son passeport et son nom est Junes Jones si je me souviens bien. Elle l'avait d'ailleurs avoué à Clive Owen en lui mentionnant que son vrai nom était Jones si je ne m'abuse.
Oui, je ne sais si ça avait un sens très profond, mais au lieu d'être une révélation, je m'en foutais. Ça devait être mieux expliqué dans la pièce, je ne sais pas pourquoi ils nous sortent ça dans le film si ils ne l'exploitent pas.
Je ne suis pas cinéphile. Voilà, vous savez tout. Je ne sais pas pourquoi, mais règle générale, lorsque je m'installe devant l'écran, je décroche dans le courant des quinze ou vingt premières minutes. Cela revient à dire, que rares sont les films qui retiennent mon attention jusqu'à la fin. Si bien que je ne m'intéresse que de loin au cinéma.
Hier je me suis enfin décidé de troquer mes habituelles activités pour un film. Après m'être bataillé avec les multiples manettes et autres appareils dont je dispose, je me suis retrouvé parqué sur une chaise droite, scotché devant le petit écran de mon ordi pendant... trois heures! Trois heures, punaise!
J'ai regardé Inland Empire (dont vous trouverez un extrait de la bande sonore sur un autre forum) de David Lynch. J'ai dans mon répertoire de non-cinéphile, vu cinq autres films de Lynch (Dune, Elephant man, Blue Velvet, Lost Highway, Mulholand Drive). Mais je serais incapable de dire si celui-là est le meilleur, le moins réussi, ou bien si c'est celui que je préfère, etc. Je n'en sais rien. Seulement, je suis resté devant l'écran jusqu'à la fin. Alors tout est dit.
Hier je me suis enfin décidé de troquer mes habituelles activités pour un film. Après m'être bataillé avec les multiples manettes et autres appareils dont je dispose, je me suis retrouvé parqué sur une chaise droite, scotché devant le petit écran de mon ordi pendant... trois heures! Trois heures, punaise!
J'ai regardé Inland Empire (dont vous trouverez un extrait de la bande sonore sur un autre forum) de David Lynch. J'ai dans mon répertoire de non-cinéphile, vu cinq autres films de Lynch (Dune, Elephant man, Blue Velvet, Lost Highway, Mulholand Drive). Mais je serais incapable de dire si celui-là est le meilleur, le moins réussi, ou bien si c'est celui que je préfère, etc. Je n'en sais rien. Seulement, je suis resté devant l'écran jusqu'à la fin. Alors tout est dit.
J'ai revu, hier soir, Un cœur en hiver, de Claude Sautet. C'est un très bonne lutte psychologique, finement menée. C'est l'un de mes films préférés de ce réalisateurs, avec César et Rosalie.
J'ai revu, hier soir, Un cœur en hiver, de Claude Sautet. C'est un très bonne lutte psychologique, finement menée. C'est l'un de mes films préférés de ce réalisateurs, avec César et Rosalie.
Moi je préfère la période Sautet/Romy que la période Sautet/Béart, mais j'avais adoré "Nelly et Monsieur Arnaud".
Celui-là m'a moins marquée, même si toute la patte de Sautet est là: l'aspect psychologique, les non-dits, les silences, les regards, l'atmosphère trouble etc.
J'ai revu, hier soir, Un cœur en hiver, de Claude Sautet. C'est un très bonne lutte psychologique, finement menée. C'est l'un de mes films préférés de ce réalisateurs, avec César et Rosalie.
Moi je préfère la période Sautet/Romy que la période Sautet/Béart, mais j'avais adoré "Nelly et Monsieur Arnaud".
Celui-là m'a moins marquée, même si toute la patte de Sautet est là: l'aspect psychologique, les non-dits, les silences, les regards, l'atmosphère trouble etc.
Ah moi j'ai adoré ce film, je trouve Auteuil extraordinaire. Et la musique !
Je ne suis pas cinéphile. Voilà, vous savez tout. Je ne sais pas pourquoi, mais règle générale, lorsque je m'installe devant l'écran, je décroche dans le courant des quinze ou vingt premières minutes. Cela revient à dire, que rares sont les films qui retiennent mon attention jusqu'à la fin. Si bien que je ne m'intéresse que de loin au cinéma.
Moi c'est rare que je ne laisse pas jouer un film jusqu'à la fin, mais il y a que je mets souvent des films en "bruit de fond" pendant que je fais d'autres activités dans la pièce en même temps.
Je viens de voir La Dolce Bellezza, de Paolo Sorrentino, .
La "grande" bellezza!
Moi j'y ai vu un film sur l'oisiveté (...).
Et moi, un film oiseux !
Je viens de voir La Dolce Bellezza, de Paolo Sorrentino, .
La "grande" bellezza!
Moi j'y ai vu un film sur l'oisiveté (...).
Et moi, un film oiseux !
Ca m'aurait étonnée! ;-)
Vu Johnny s'en va-en-guerre,
Aaaah quel dommage ! C'est le film le plus bouleversant que j'ai pu voir et la fin prend aux tripes.
Ben j'ai pas vu, du coup...franchement c'est extrêmement rare que je ne regarde pas un film jusqu'au bout, mais là...
Bon tant pis. Nous aurons desormais les comedies musicales et Johnny comme point de divergence.
Et Wes Anderson!
Mais ce n'est pas grave, c'est bien, de ne pas être d'accord, je trouve.
Moi c'est rare que je ne laisse pas jouer un film jusqu'à la fin, mais il y a que je mets souvent des films en "bruit de fond" pendant que je fais d'autres activités dans la pièce en même temps.
Ah ouais? Mais tu arrives à suivre quand même??
Je viens de voir La Dolce Bellezza, de Paolo Sorrentino, .
La "grande" bellezza!
Moi j'y ai vu un film sur l'oisiveté (...).
Et moi, un film oiseux !
Ca m'aurait étonnée! ;-)
Bah j'y mets quand même du mien ! On a quatre lettres en commun : on n'a jamais été si proches !
Par contre, Veneziano, la réflexion sur la création ? J'attends des explications !
Par contre, Veneziano, la réflexion sur la création ? J'attends des explications !
Ben y'a quand même une belle tournée en dérision du soit disant "art" mondain, qu'est aussi creux que le premier poème de Musso mais qu'il est de bon ton de trouver génial dans certains microcosmes...mais bon, je ne m'appelle pas Veneziano, en même temps...nous le laisserons donc répondre.
C'est plus de la supercherie que de la création alors.
Instinctivement, je pensais que Veneziano se référait aux maigres tentatives que fait le personnage principal (j'allais dire "le héros", et puis, je me suis tapé la paume de la main contre le front) pour écrire son second roman, mais elles sont si insignifiantes que c'est un non-sujet.
Instinctivement, je pensais que Veneziano se référait aux maigres tentatives que fait le personnage principal (j'allais dire "le héros", et puis, je me suis tapé la paume de la main contre le front) pour écrire son second roman, mais elles sont si insignifiantes que c'est un non-sujet.
Ah ouais? Mais tu arrives à suivre quand même??
Des fois oui des fois non, enfin je peux toujours remettre le film.
Mais c'est souvent des films que je connais que je mets comme bruit de fond, alors ce n'est pas grave.
C'est plus de la supercherie que de la création alors.
Instinctivement, je pensais que Veneziano se référait aux maigres tentatives que fait le personnage principal (j'allais dire "le héros", et puis, je me suis tapé la paume de la main contre le front) pour écrire son second roman, mais elles sont si insignifiantes que c'est un non-sujet.
Effectivement, le sujet n'est pas là selon moi. Le sujet, enfin la question, c'est de se demander pourquoi, lorsqu'on est libre de toute contrainte (ce n'est quand même pas rien, quand même, d'être pété de thunes et de vivre dans le -putain!!!- de cadre où ils vivent, là, tous...), donc quand t'as quand même de bonnes raisons d'être heureux, pourquoi faut-il que, bien souvent, tu ne le sois pas, que ta vie soit aussi vide et que tu la remplisses de choses hyper factices, creuses et sans intérêt?
Ce n'est pas une critique de la richesse comme tu l'as dit, selon moi, c'est une critique de ce qu'on en fait, à savoir rien...c'est de ne pas être foutu d'être content quand t'as quand même de bonnes raisons de l'être.
Mais bon, ce film c'est même pas que tu ne l'as pas aimé, il t'exaspère carrément. A partir de là, tu n'es prêt à lui accorder aucune indulgence.
Et loin de moi l'idée de te jeter la pierre, Pierre, je ressens exactement la même chose au sujet de cette daube qu'est Drive à mes yeux.
Je te jure que je te comprends!
Ah ouais? Mais tu arrives à suivre quand même??
Des fois oui des fois non, enfin je peux toujours remettre le film.
Mais c'est souvent des films que je connais que je mets comme bruit de fond, alors ce n'est pas grave.
Ah ben j'y ai jamais pensé, je préfère mettre de la musique, mais j'essaierai, tiens...(mais quand même, sans les images..)
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