Vu l'effrontée, le premier film de Charlotte Gainsbourg qui doit avoir 12 ou 13 ans à l'époque et dont le jeu est absolument remarquable. Un film touchant avec une b.o magique :-)
Je l'ai découvert récemment, c'est un bon film avec des dialogues qui font mouche, et Bernadette Lafont semblable à elle-même, pétulante et pleine de verve.
Dans la bande originale, il y a Sarà perche ti amo, de Ricchi e Poveri, une chanson gaie et drôle, qui évoque bien l'insouciance, sans être donc la création musicale du siècle.
J'ai vu, hier soir, Providence, d'Alain Resnais. J'avais été prévenu que c'était un bon film : il s'avère, en effet, assez bluffant. Evoquant la création littéraire et la mort, il se montre tour à tour brillant de réflexion, glauque et désopilant.
Ce réalisateur confectionne ici un film anglais, à l'humour ressemblant à celui de ce pays.
J'ai passé une bonne soirée devant.
Ce réalisateur confectionne ici un film anglais, à l'humour ressemblant à celui de ce pays.
J'ai passé une bonne soirée devant.
Dans la bande originale, il y a Sarà perche ti amo, de Ricchi e Poveri, une chanson gaie et drôle, qui évoque bien l'insouciance, sans être donc la création musicale du siècle.
Un bon film, mais la musique erk! La chanson en soi est correcte, mais est-ce qu'elle ne joue pas 3-4 fois dans le film? Ça fait longtemps que je l'ai vu, mais me semble que ça m'avait traumatisé.
Dans la bande originale, il y a Sarà perche ti amo, de Ricchi e Poveri, une chanson gaie et drôle, qui évoque bien l'insouciance, sans être donc la création musicale du siècle.
Un bon film, mais la musique erk! La chanson en soi est correcte, mais est-ce qu'elle ne joue pas 3-4 fois dans le film? Ça fait longtemps que je l'ai vu, mais me semble que ça m'avait traumatisé.
Je serai plutôt d'accord avec Veneziano ! C'est une musique pleine de vie et qui donne envie de danser :-) comme le dit Nance, elle revient plusieurs fois dans le film, c'est le leit motiv de l'histoire
J'ai revu, hier soir, Chacun cherche son chat, de Cédric Klapisch. C'est un joli film convivial, sur la vie d'un quartier, dont la perte d'un chat est le prétexte. Il n'a cependant pas de très grande prétention, il est agréable, à tendance "solidaire", mais n'a pas la porté de l'Auberge espagnole ou d'Un long dimanche de fiançailles.
Dans la bande originale, il y a Sarà perche ti amo, de Ricchi e Poveri, une chanson gaie et drôle, qui évoque bien l'insouciance, sans être donc la création musicale du siècle.
Un bon film, mais la musique erk! La chanson en soi est correcte, mais est-ce qu'elle ne joue pas 3-4 fois dans le film? Ça fait longtemps que je l'ai vu, mais me semble que ça m'avait traumatisé.
Je serai plutôt d'accord avec Veneziano ! C'est une musique pleine de vie et qui donne envie de danser :-) comme le dit Nance, elle revient plusieurs fois dans le film, c'est le leit motiv de l'histoire
En effet, la chanson revient plusieurs fois dans le film, Charlotte Gaisbourg remet plusieurs fois la cassette.
J'ai revu, hier soir, OSS 117 : Rio ne répond plus. S'il y a bien des instants drôles, l'abus d'humour raciste et misogyne devient très vite assez lassant. C'en devient franchement lourd.
J'ai vu hier soir le Saint-Laurent, de Jalil Lespert, c'est bien fait, l'ascension et la fragilité sont élégamment montrés ; quant à la déchéance, elle est évoquée de manière très claire, sans que la mise en scène s'apesantisse dessus, d'une manière assez pudique. L'interprétation de Pierre Ninet est impressionnante : on a l'impression de le revoir.
Ce film est donc bon, et aussi est-il tire de la biographie de Laurence Benaim, journaliste de mode.
Ce film est donc bon, et aussi est-il tire de la biographie de Laurence Benaim, journaliste de mode.
J'ai revu, cette après-midi, La Fille à la valise, de Valerio Zurlini, avec Claudia Cardinale et Jacques Perrin, alors tout jeune. C'est un mélo sombre sur l'âge et le hasard en amour, avec la question de savoir ou' peut mener l'insouciance mêlée au cumul des contrariétés.
C'est un bon film, avec quelques petites longueurs.
C'est un bon film, avec quelques petites longueurs.
J'ai vu hier soir le Saint-Laurent, de Jalil Lespert, c'est bien fait, l'ascension et la fragilité sont élégamment montrés ; quant à la déchéance, elle est évoquée de manière très claire, sans que la mise en scène s'apesantisse dessus, d'une manière assez pudique. L'interprétation de Pierre Ninet est impressionnante : on a l'impression de le revoir.
Ce film est donc bon, et aussi est-il tire de la biographie de Laurence Benaim, journaliste de mode.
Je l'ai vu avant hier aussi.
Le film est surtout adoubé par Pierre Berge contrairement à celui présenté à Cannes. Je suis mitigée. Il est très bien joué par Niney et par Gallienne (sobrement dans son cas). En revanche je n'ai pas trop aimé la photo et surtout je n'y a i pas vu un grand intérêt. Le film n'apporte pas grand chose et est très classique. En fait que ce soit en matière de livres ou de films, le côté biopic m'ennuie. (Aussi ne vais je pas regarder la mome ce soir :). )
Tu peux regarder Goodbye Staline ce soir sur Arte, excellent film.
J'ai regardé Philomena de Frears. Sur ce sujet, j'avais beaucoup aimé le film de Mullan Magdalene sisters, plus frontal, plus noir.
Philomena, c'est cette femme qui décide de retrouver le fils qu on lui a littéralement arraché 50 ans avant. Le film fait presque passer en second plan ce point. En premier c'est le road movie de cette femme avec le journaliste, son contraire. Je m'attendais à autre chose.
Philomena, c'est cette femme qui décide de retrouver le fils qu on lui a littéralement arraché 50 ans avant. Le film fait presque passer en second plan ce point. En premier c'est le road movie de cette femme avec le journaliste, son contraire. Je m'attendais à autre chose.
Tu peux regarder Goodbye Staline ce soir sur Arte, excellent film.
Merci Saule. En effet bon film que j'ai vu à sa sortie. Ce soir je vais potasser les P.V des assemblées de copro. Y a du rififi.
Avant hier soir, j'ai découvert Mercredi, folle journée ! , de Pascal Thomas, film très sympathique, choral, dur, tendre et burlesque tout à la fois, avec une sertir de seconds rôles et de quiproquos désopilants, au moins fort plaisant.
L'ensemble est quelque peu décousu, peut-être un tantinet longuet, mais cela se tient. C'est intéressant et agréable.
J'ai passé un bon moment.
Oh j'avais adore ce film Ven, je l'avais vu a sa sortie...Peu de personnes le connaissent, je l'avais trouve poetique, exactement le genre de film que j'aurais tendance a eviter sur des a priori, le cote film choral, avec des tas d'acteurs connus, ca peut vite faire gnangnan ou telefilm...Alors qu'il est juste beau, il a une grace discrete, poignante....
"Goodbye Lenin" ce soir, oui Saule! :) Exactement le film qui colle a mes gouts de lecture!
Vu "Le promeneur d'oiseau" de Philippe Muyl. Acteurs chinois, lieu : Pékin ou une autre mégalopole chinoise d'une part et la province profonde d'autre part.
Contexte : couple de super-cadres sup. mondialisés et hyper-bookés au bord du divorce, qui ne voient leur gamine (6 ans environ) que tous les 29 février entre deux avions, congrès, etc., laquelle est élevée peu ou prou par une domestique (! - le camarade Mao doit se retourner dans sa tombe plusieurs milliers de fois par seconde...). Laquelle aussi est une petite peste malpolie, vaniteuse et insupportable, bardée d'électronique ludique et qui ne connaît du monde que ce que son barda peut lui en dire. Une citadine moderne, quoi.
Une circonstance imprévue appelle à la rescousse le grand-père paternel, habitant d'un ancien quartier genre "vieux XIe ou XIXe ou XXe", en conflit avec son fils.
Je passe sur les découvertes de la petite peste à la campagne.
Fin téléphonée. Un conte classique applicable sous toutes les latitudes et tous les régimes, joué sans ostentation ni effets esthétiques appuyés. Garanti sans armes, sexe, alcool, violence, sinon celle qu'exerce l'argent partout et toujours. Si vous êtes énervés, ce film peut servir. Un bon antidote à une quelconque production yankee aussi géniale soit-elle et sûrement plus subtil.
Contexte : couple de super-cadres sup. mondialisés et hyper-bookés au bord du divorce, qui ne voient leur gamine (6 ans environ) que tous les 29 février entre deux avions, congrès, etc., laquelle est élevée peu ou prou par une domestique (! - le camarade Mao doit se retourner dans sa tombe plusieurs milliers de fois par seconde...). Laquelle aussi est une petite peste malpolie, vaniteuse et insupportable, bardée d'électronique ludique et qui ne connaît du monde que ce que son barda peut lui en dire. Une citadine moderne, quoi.
Une circonstance imprévue appelle à la rescousse le grand-père paternel, habitant d'un ancien quartier genre "vieux XIe ou XIXe ou XXe", en conflit avec son fils.
Je passe sur les découvertes de la petite peste à la campagne.
Fin téléphonée. Un conte classique applicable sous toutes les latitudes et tous les régimes, joué sans ostentation ni effets esthétiques appuyés. Garanti sans armes, sexe, alcool, violence, sinon celle qu'exerce l'argent partout et toujours. Si vous êtes énervés, ce film peut servir. Un bon antidote à une quelconque production yankee aussi géniale soit-elle et sûrement plus subtil.
J'ai revu, hier soir, Borsalino, de Jacques Deray, que j'avais vu ces 8-9 ans. Cette description des bas-fonds et affaires du Marseille de l'entre-deux-guerres est assez bien faite, mais traîne quelque peu en longueur. S'il y a de l'humour et du suspense, les aventures sulfureuses des deux coqs Delon-Belmondo finit, à la longue, par lasser.
Ce film a le mérite de mettre ces deux frères ennemis du cinéma français en valeur.
Ce film a le mérite de mettre ces deux frères ennemis du cinéma français en valeur.
Vu (enfin) le cultissime 'Et Dieu créa la femme' avec une BB au zénith de sa beauté. Un film qui a marqué toute une génération, fait couler beaucoup d'encre, hissé Bardot au rang de sex symbol et suscité le scandale (le Pape de l'époque a même vigoureusement condamné la belle actrice)... beaucoup de bruit pour rien ? A mon avis ce film doit tout au charme sulfureux d'une BB femme-enfant qui ne laisse personne indifférent, car le scénario n'a rien de ceux dont on fait les chefs d'oeuvre !
Vu (enfin) le cultissime 'Et Dieu créa la femme' avec une BB au zénith de sa beauté. Un film qui a marqué toute une génération, fait couler beaucoup d'encre, hissé Bardot au rang de sex symbol et suscité le scandale (le Pape de l'époque a même vigoureusement condamné la belle actrice)... beaucoup de bruit pour rien ? A mon avis ce film doit tout au charme sulfureux d'une BB femme-enfant qui ne laisse personne indifférent, car le scénario n'a rien de ceux dont on fait les chefs d'oeuvre !
Ce film est très bon, et il a beaucoup fait pour la libération de la Femme, outre une conclusion bien conservatrice et patriarcale. Il est dommage que BB ait oublié son ancien statut d'icône de la libération féminine.
J'ai revu, hier soir, Le Genou de Claire, d'Eric Rohmer, toujours aussi intéressant et bon, sur l'analyse du phénomène amoureux, le sérieux à l'approche du mariage, la prise de distance pour mieux se retrouver.
Et, curieusement, ce film se passe dans les alentours d'Annecy, d'où je reviens.
Et, curieusement, ce film se passe dans les alentours d'Annecy, d'où je reviens.
ce film se passe dans les alentours d'Annecy, d'où je reviens.
Tu es allé aux feux....sous la pluie?
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