Mais où est donc passée Sissi ??
Mais où est donc passée Sissi ??
Je suis là!! Désolée pour le retard, mais j'étais...sur un tournage, justement! ;-)
Juste pour observer, mais c'est franchement génial. Les acteurs parlent souvent du grand désagrément de leur métier:le temps d'attente, et bien ce n'est pas une légende.
4h ce matin pour tourner une saynète de 2mn30. Et encore! Ces saynètes n'ont rien d'artistique (peu de travail de ce côté là, donc), ce sont des petits films à portée pédagogique médicale.
C'est de la folie le temps de préparation et d'installation, notamment pour ce qui est de la luminosité (le temps était nuageux, puis le soleil s'est levée, il a fallu mettre des filtres sur chaque fenêtre (en plus de tous les autres...). On fait je ne sais combien de prises parce qu'en plus des acteurs qui se plantent, rient etc.il y a des problèmes de déplacements, de son, qu'il faut réajuster, ensuite il faut refaire la même chose qu'on a faite en plan fixe, mais en champ/contrechamp (avec changement de place sur matos, donc).
Pour des raisons logiques et pratiques, on tourne dans le désordre, ce qui peut poser des pbs de raccord (la sac à main n'était pas posé comme ça sur la chaise, penser à reprendre le même stylo qu'on avait dans la main 2h avant, il faut penser à mille choses=
Enfin bref, c'est ultra intéressant, j'ai appris plein de trucs, des mots nouveaux (une madarine etc.)
(changement de place DU matos, et une parenthèse au lieu du =!!)
Mais revenons à nos moutons.
Merci beaucoup pour toutes vos réponses. Je vous demandais ça parce que j'avais eu une discussion à ce sujet, et les avis divergeaient beaucoup.
Pour ma part, je trouve qu'Henry Fonda est extrêmement charismatique, il a selon moi une présence incroyable, une espèce d'aura qui capte l'attention. Ça n'a rien à voir avec la beauté physique (il est pas mal, mais sans plus à mes yeux et il ne me met pas dans tous mes états comme toi Myrco! :-)), je pense d'ailleurs que le charisme n'a rien à voir avec la beauté (sauf beauté du diable fascinante peut-être).
Et c'est parce que je le trouve charismatique que je trouve que c'est un grand acteur.
Les deux choses sont liées. Il n'est pas nécessaire d'avoir du charisme pour être un bon acteur/comédien. Pour être un grand acteur, si.
(C'était ma seconde question: le talent de comédien est-il lié au charisme?)
Mais revenons à nos moutons.
Merci beaucoup pour toutes vos réponses. Je vous demandais ça parce que j'avais eu une discussion à ce sujet, et les avis divergeaient beaucoup.
Pour ma part, je trouve qu'Henry Fonda est extrêmement charismatique, il a selon moi une présence incroyable, une espèce d'aura qui capte l'attention. Ça n'a rien à voir avec la beauté physique (il est pas mal, mais sans plus à mes yeux et il ne me met pas dans tous mes états comme toi Myrco! :-)), je pense d'ailleurs que le charisme n'a rien à voir avec la beauté (sauf beauté du diable fascinante peut-être).
Et c'est parce que je le trouve charismatique que je trouve que c'est un grand acteur.
Les deux choses sont liées. Il n'est pas nécessaire d'avoir du charisme pour être un bon acteur/comédien. Pour être un grand acteur, si.
(C'était ma seconde question: le talent de comédien est-il lié au charisme?)
Vu hier soir, Dracula de Francis Ford Coppola.
Hier j'ai écouté L'extase et l'agonie, sur Michel-Ange (joué par Charlton Heston) qui peigna la chapelle Sixtine. Ça fait étrange parce que je regarde la série Borgia en biais, où Rovere est un manipulation presque aussi pire que les Borgia, alors il a fallu que je mets ça de côté en regardant ce film. Un film romantisé, Michel-Ange est même hétéro, mais que j'ai bien aimé regarder. Les 10 premières minutes on montre les oeuvres de Michel-Ange, de toute beauté.
@Sissi
Ah mais là-dessus, je suis d'accord avec toi, la beauté n'a rien à voir avec le charisme; on peut avoir l'un sans l'autre et dans les deux sens; il se trouve que, pour moi, Fonda avait les deux, mais chacun ses goûts;-)
Par contre, je ne suis pas sûre d'être d'accord avec toi quant à ta deuxième question. Par exemple, je crois que l'on peut dire que Gabin avait un certain charisme; personnellement, j'ai toujours considéré que ce n'était pas un grand acteur, ni même un très bon acteur; sauf au début de sa carrière, on a écrit des rôles pour lui dans lesquels Gabin jouait du Gabin, le contraire même de l'esprit de l'Actor's studio !
Ah mais là-dessus, je suis d'accord avec toi, la beauté n'a rien à voir avec le charisme; on peut avoir l'un sans l'autre et dans les deux sens; il se trouve que, pour moi, Fonda avait les deux, mais chacun ses goûts;-)
Par contre, je ne suis pas sûre d'être d'accord avec toi quant à ta deuxième question. Par exemple, je crois que l'on peut dire que Gabin avait un certain charisme; personnellement, j'ai toujours considéré que ce n'était pas un grand acteur, ni même un très bon acteur; sauf au début de sa carrière, on a écrit des rôles pour lui dans lesquels Gabin jouait du Gabin, le contraire même de l'esprit de l'Actor's studio !
Vu hier soir, Dracula de Francis Ford Coppola.
Pour moi, ce film écrase sans difficulté toutes les versions antérieures du mythe. Le réalisateur explique clairement l'origine de la malédiction de Dracula dans la magnifique séquence d'ouverture. Le soin apporté à la photographie fait de ce "Dracula" une oeuvre unique.
Vu hier soir, Dracula de Francis Ford Coppola.
Pour moi, ce film écrase sans difficulté toutes les versions antérieures du mythe. Le réalisateur explique clairement l'origine de la malédiction de Dracula dans la magnifique séquence d'ouverture. Le soin apporté à la photographie fait de ce "Dracula" une oeuvre unique.
C'est vrai qu'il est sacrément bon. Je suis justement en train de lire le roman de Bram Stoker, et j'ai bien aimé aussi le début du film qui est différent du début du livre.
@ Sissi et Myrco :
Effectivement le charisme est une aura que dégage l'acteur (ou un gourou d'ailleurs) et n'a aucun lien avec la beauté.
Pour moi, une grande star a forcément du charisme. Il capte l'attention de la caméra et du public.
En revanche on peut trouver qu'un acteur a du charisme et ne pas y est sensible (ex Dujardin pour moi).
Pour Gabin je ne suis pas complétement d'accord avec Myrco, le Gabin d'avant guerre est très bon acteur. Ensuite son jeu est, il est vrai, monolithique, la faute à qui ? à lui ou plutôt aux scénaristes qui l'ont enfermé dans le même personnage ? sans doute les deux.
Néanmoins son charisme fait que dans chaque film que je découvre, il me fascine.
De nos jours, on peut reprocher à Luchini de faire du Luchini, de Poolvoerde de faire du Poolvoerde.
Quant à l'Actor's Studio (créé au début des années 50), ni Gabin, ni Fonda n'étaient de cette génération et la technique de l'Actor's Studio a aussi ses détracteurs. Les acteurs issus de cette école peuvent avoir le défaut d'en faire un peu trop (mais ceci est un autre débat).
Il ne faut pas oublier que nombre d'acteurs américains de la génération Fonda ont fait de la scène avant d'être happés par le cinéma.
Effectivement le charisme est une aura que dégage l'acteur (ou un gourou d'ailleurs) et n'a aucun lien avec la beauté.
Pour moi, une grande star a forcément du charisme. Il capte l'attention de la caméra et du public.
En revanche on peut trouver qu'un acteur a du charisme et ne pas y est sensible (ex Dujardin pour moi).
Pour Gabin je ne suis pas complétement d'accord avec Myrco, le Gabin d'avant guerre est très bon acteur. Ensuite son jeu est, il est vrai, monolithique, la faute à qui ? à lui ou plutôt aux scénaristes qui l'ont enfermé dans le même personnage ? sans doute les deux.
Néanmoins son charisme fait que dans chaque film que je découvre, il me fascine.
De nos jours, on peut reprocher à Luchini de faire du Luchini, de Poolvoerde de faire du Poolvoerde.
Quant à l'Actor's Studio (créé au début des années 50), ni Gabin, ni Fonda n'étaient de cette génération et la technique de l'Actor's Studio a aussi ses détracteurs. Les acteurs issus de cette école peuvent avoir le défaut d'en faire un peu trop (mais ceci est un autre débat).
Il ne faut pas oublier que nombre d'acteurs américains de la génération Fonda ont fait de la scène avant d'être happés par le cinéma.
Je corrige : y être sensible …
Vous avez raison, les filles, ce n'est pas si simple: le charisme ne garantit ni le talent, ni "l'amour du spectateur" (ex Dujardin pour Merrybelle, perso j'y suis très sensible :-), mais un acteur qui sort du lot en a forcément.
Je n'ai jamais réussi à savoir si j'aimais Gabin ou pas (tandis que pour Lino Ventura c'est très clair: c'est oui!!), Luchini j'adorais, je l'aime toujours bien mais j'avoue que parfois il m'agace.
J'adore Poolvoerde, il est unique et il peut tout jouer, il peut faire rire comme inquiéter (je me souviens d'un film incroyable avec Isabelle Carré où il est psychopathe). J'aime bien son côté écorché vif/imprévisible.
Et "C'est arrivé près de chez vous", c'est le genre de film qu'on n'oublie pas.
Je n'ai jamais réussi à savoir si j'aimais Gabin ou pas (tandis que pour Lino Ventura c'est très clair: c'est oui!!), Luchini j'adorais, je l'aime toujours bien mais j'avoue que parfois il m'agace.
J'adore Poolvoerde, il est unique et il peut tout jouer, il peut faire rire comme inquiéter (je me souviens d'un film incroyable avec Isabelle Carré où il est psychopathe). J'aime bien son côté écorché vif/imprévisible.
Et "C'est arrivé près de chez vous", c'est le genre de film qu'on n'oublie pas.
Vu "La vie d'Adèle". c'est un film qui ne m'avait pas du tout tentée à sa sortie, je l'ai visionné au départ un peu à reculons, et bien j'ai bien fait de me forcer un peu.
Adèle Ex...os (c'est comme pour le vin, j'ai du mal avec les noms de personnes, aussi) est magistrale, vraiment. Elle est tellement vraie, tellement juste, je ne sais pas comment elle fait pour rougir sur commande, mais alors elle m'a franchement épatée.
C'est une histoire finalement très banale (une jeune femme qui se construit), mais c'est tellement bien mené qu'on ne voit pas le temps passer, c'est prenant, bouleversant, on est à fleur de peau comme elle peut l'être.
Un seul petit reproche: un peu trop de gros plans à mon goût.
Adèle Ex...os (c'est comme pour le vin, j'ai du mal avec les noms de personnes, aussi) est magistrale, vraiment. Elle est tellement vraie, tellement juste, je ne sais pas comment elle fait pour rougir sur commande, mais alors elle m'a franchement épatée.
C'est une histoire finalement très banale (une jeune femme qui se construit), mais c'est tellement bien mené qu'on ne voit pas le temps passer, c'est prenant, bouleversant, on est à fleur de peau comme elle peut l'être.
Un seul petit reproche: un peu trop de gros plans à mon goût.
Un des derniers films vus au cinema (considèrons que je suis une jeune maman, donc malheureusement j'ai un peu abandonné le grand écran)...dernier ciné donc c'était avec Franco Maresco. Connaissez vous ? C'est un réalisateur sicilien qui fut découvert en couple avec Daniele Ciprì sur la télé italienne dans les années 90(Cinico tv...des petites scènes terribles crachant sur la mafia, la pauvreté, le monde contemporain dans un noir et blanc éblouissant). Et puis ils ont fait quelques films avant de se séparer (dont un fut censurè par le Vatican). Ce que Pasolini n'a pas complètement osé, Ciprì et Maresco l'ont crié. Pasolini malgré tout restait assez mysthique bien qu'on sente dans son oeuvre le désir de démolir le divin. Ciprì et Maresco vont aller jusqu'au bout. Plus de ciel pour les hommes. Juste une terre qui ne sait plus etre mère.
ET donc le dernier film de Maresco en solitaire. C'était inespéré. Il s'intitule "Belluscone, una storia italiana". Il réussit parfaitement à retracer les 20 ans de berlusconisme vécu en péninsule. A' travers un récit sicilien. Difficile de parler de ce film bien accueilli à Venise, au festival. Depuis mon fauteuil de bourgeoise en quelque sorte, je me suis sentie un peu comme dans un zoo devant le film. Je voyais ces betes vivre au milieu d'une terre pourrie de corruption, chanter l'amour pour Berlusconi (autre pourri) et pendant presque tout le film je me suis sentie loin, comme protéger de ces petits monstres de réel...et puis non...car certes on rit de ces personnages existants, mais on comprend vite qu'on rit aussi de soi...les betes naissent de nos corps, pas seulement des autres...et au mileu de ce malaise, des rires oui, mais aussi des larmes d'émotion...Maresco encore une fois c'est la vie terrible qu'il raconte, mais la vie, non ?
quelques critiques télérama pour ceux qui veulent :
http://telerama.fr/cinema/films/…
http://telerama.fr/cinema/films/…
ps : bien sur le parti politique dont Berlusconi est le président, Forza Italia, a demandé le boycott du film "Belluscone..." à sa sortie en salle...évidemment !
ET donc le dernier film de Maresco en solitaire. C'était inespéré. Il s'intitule "Belluscone, una storia italiana". Il réussit parfaitement à retracer les 20 ans de berlusconisme vécu en péninsule. A' travers un récit sicilien. Difficile de parler de ce film bien accueilli à Venise, au festival. Depuis mon fauteuil de bourgeoise en quelque sorte, je me suis sentie un peu comme dans un zoo devant le film. Je voyais ces betes vivre au milieu d'une terre pourrie de corruption, chanter l'amour pour Berlusconi (autre pourri) et pendant presque tout le film je me suis sentie loin, comme protéger de ces petits monstres de réel...et puis non...car certes on rit de ces personnages existants, mais on comprend vite qu'on rit aussi de soi...les betes naissent de nos corps, pas seulement des autres...et au mileu de ce malaise, des rires oui, mais aussi des larmes d'émotion...Maresco encore une fois c'est la vie terrible qu'il raconte, mais la vie, non ?
quelques critiques télérama pour ceux qui veulent :
http://telerama.fr/cinema/films/…
http://telerama.fr/cinema/films/…
ps : bien sur le parti politique dont Berlusconi est le président, Forza Italia, a demandé le boycott du film "Belluscone..." à sa sortie en salle...évidemment !
Hier vu au cinéma "Tonnerre", le premier long métrage de Guillaume BRAC.
"Maxime, un rocker sur le déclin, retourne vivre chez son père quelque temps. Mélodie, journaliste pour l'Yonne, journal régional, fait un entretien avec lui. Il tente de la revoir, et la séduit au hasard d'un cours de danse. Un amour passionnel naît très vite entre eux. Mais peu de temps après, Mélodie disparaît..."
Bon déjà j'aime bien parce que ça se passe à Tonnerre, en Bourgogne, dans une "France profonde" quon ne voit pas si souvent que ça au cinéma. Vincent Macaigne y joue le rôle d'une rockeur lunaire, mélancolique barré, déjanté, parfois hystérique et aussi fragile. Il tient littéralement le film.
Le film commence comme une chtite bluette sympathique, très poétique, une déambulation dans cette ville de Tonnerre et la campagne environnante. Et au moment de la disparition de Mélodie, l'histoire bascule...
Bon il y a quelques défauts à mon goût, un manque de vraisemblance et de réalisme parfois, mais les images sont belles, il y a une vraie ambiance et de très beaux moments.
Bernard Menez dans le rôle du père, à défaut d'être toujours juste, y est sensible. La jeune Solène Rigot est un charmant brin de fille qui illumine l'hiver bourguignonne et le cœur de rockeur de Vincent Macaigne.
"Maxime, un rocker sur le déclin, retourne vivre chez son père quelque temps. Mélodie, journaliste pour l'Yonne, journal régional, fait un entretien avec lui. Il tente de la revoir, et la séduit au hasard d'un cours de danse. Un amour passionnel naît très vite entre eux. Mais peu de temps après, Mélodie disparaît..."
Bon déjà j'aime bien parce que ça se passe à Tonnerre, en Bourgogne, dans une "France profonde" quon ne voit pas si souvent que ça au cinéma. Vincent Macaigne y joue le rôle d'une rockeur lunaire, mélancolique barré, déjanté, parfois hystérique et aussi fragile. Il tient littéralement le film.
Le film commence comme une chtite bluette sympathique, très poétique, une déambulation dans cette ville de Tonnerre et la campagne environnante. Et au moment de la disparition de Mélodie, l'histoire bascule...
Bon il y a quelques défauts à mon goût, un manque de vraisemblance et de réalisme parfois, mais les images sont belles, il y a une vraie ambiance et de très beaux moments.
Bernard Menez dans le rôle du père, à défaut d'être toujours juste, y est sensible. La jeune Solène Rigot est un charmant brin de fille qui illumine l'hiver bourguignonne et le cœur de rockeur de Vincent Macaigne.
Je vais partir au ciné bientôt (et enfin!!!!!).
Entre Leviathan et Mommy, mon coeur balance (fortement).
On sait que le premier est très bien, mais comme la balance penche un tout petit peu plus vers le second quand même, j'aimerais savoir si quelqu'un l'a vu?
Si quelqu'un passe par là d'ici une heure et qu'il peut m'éclairer, ça m'aidera peut-être à trancher.
Sinon...et bien on verra bien!
Entre Leviathan et Mommy, mon coeur balance (fortement).
On sait que le premier est très bien, mais comme la balance penche un tout petit peu plus vers le second quand même, j'aimerais savoir si quelqu'un l'a vu?
Si quelqu'un passe par là d'ici une heure et qu'il peut m'éclairer, ça m'aidera peut-être à trancher.
Sinon...et bien on verra bien!
J'ai essayé de regarder un film de Xavier Dolan et j'ai déclaré forfait. Imbuvable et grotesque c'était.
Vu hier soir et aimé : "Blue Jasmine" de Woody Allen avec Kate Blanchett dans le rôle de Jasmine, une femme mariée à un homme très riche menant la grande vie lorsque tout bascule : elle découvre que son mari la trompe depuis des années et que son argent provient du la criminalité. Elle se venge mais la dégringolade sera dure et irréversible. Un film qui m'a touchée au plus haut point. Kate Blanchett est fabuleusement bonne dans son rôle de femme habituée à naviguer dans le luxe et qui se voit contrainte de vivre avec sa soeur dans des conditions qu'elle n'a jamais connues et auxquelles elle n'arrive pas à s'adapter. Un film qui me hantera longtemps surtout la dernière scène à la toute fin. Mon dieu ! que la vie est impitoyable envers ceux qui ne savent pas toujours s'y adapter. Un excellent film.
Vu hier soir et aimé : "Blue Jasmine" de Woody Allen avec Kate Blanchett dans le rôle de Jasmine, une femme mariée à un homme très riche menant la grande vie lorsque tout bascule : elle découvre que son mari la trompe depuis des années et que son argent provient du la criminalité. Elle se venge mais la dégringolade sera dure et irréversible. Un film qui m'a touchée au plus haut point. Kate Blanchett est fabuleusement bonne dans son rôle de femme habituée à naviguer dans le luxe et qui se voit contrainte de vivre avec sa soeur dans des conditions qu'elle n'a jamais connues et auxquelles elle n'arrive pas à s'adapter. Un film qui me hantera longtemps surtout la dernière scène à la toute fin. Mon dieu ! que la vie est impitoyable envers ceux qui ne savent pas toujours s'y adapter. Un excellent film.
J'ai essayé de regarder un film de Xavier Dolan et j'ai déclaré forfait. Imbuvable et grotesque c'était.
C'était quoi? "Les amours imaginaires"? (je pense à celui-là car je sais qu'il divise de manière très très forte).
Je ne peux pas me positionner, je n'en ai vu aucun!! (de film De Dolan)
Et ça n'arrange pas mes affaires! :-))
Moi je n'ai pas aimé "Blue Jasmine", même si la prestation de Cate Blanchett est magistrale.
J'ai trouvé ça creux, long, superficiel, sans profondeur.
Je vais partir au ciné bientôt (et enfin!!!!!).
Entre Leviathan et Mommy, mon coeur balance (fortement).
On sait que le premier est très bien, mais comme la balance penche un tout petit peu plus vers le second quand même, j'aimerais savoir si quelqu'un l'a vu?
Si quelqu'un passe par là d'ici une heure et qu'il peut m'éclairer, ça m'aidera peut-être à trancher.
Sinon...et bien on verra bien!
Je vais le voir ce soir. Donc pour l'instant, je ne saurais rien en dire.
Cependant, simple conseil pratique pour t'aider a faire ton choix : Léviathan est un film russe, relativement confidentiel et sorti il y a quelques semaines. Il devrait donc arrêter d'être diffusé bien avant le dernier film du réalisateur hype du moment encensé par la critique. T'auras sûrement droit à une séance de rattrapage pour Mommy, pas sur pour Léviathan.
Le film était "J'ai tué ma mère". Lui et Anne Dorval passaient leur temps à s'engueuler et je n'en pouvais plus. Un navet à mon avis.
Le film "Blue Jasmine" décrit bien la dégringolade d'une femme dépendante de son mari pour tout. Sans lui, elle n'est plus rien et tout le monde la rejette. Elle se retrouve complètement seule, sans rien devant elle et c'est cela qui est terrible. Woody Allen à bien saisi cette situation je trouve. C'est terrible, terrible ! Que va-t-elle devenir ? me suis-je dit à la fin. Sans être le film du siècle, c'est un bon film qui expose la souffrance d'un être qui doit s'en sortir, qui tente désespérément de préserver ce train de vie qui était le sien mais qui n'y parvient pas. Cette femme ne peut refaire sa vie et c'est cela qui est affreusement triste.
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