Retour vers le futur, c'est juste pour les conséquences qu'il y a à modifier le passé (thème assez banal dans ces histoires de machine à remonter le temps, mais qui est l'objet du premier volet de la trilogie où la future mère de McFly tombe amoureuse de son futur fils, remettant ainsi son existence en question : il y a un problème similaire à la fin du film).
Ce film (de Chris. Marker) est sublime ! Il a inspiré Terry Gilliam pour son long-métrage : L'Armée des douze singes.
Ah ? pas vu ce film non plus. Je note donc !
T'as pas vu L'Armée des douze singes??? Damned!
J'ai vu l'Armée des douze singes, mais pas le film qui l'a inspiré. Voilà donc une idée.
*Il est difficile d'être un dieu, pardon.
Il y a de très bonnes critiques, comme il y en a de très mauvaises. Je l'ai vu hier soir (et en même temps, il y a une rétrospective de l’œuvre de Guerman à la Cinémathèque Française, où les séances sont très rapidement pleines !) et c'est sûr que c'est un sacré morceau. Je ne connais pas le texte original (des frères Strougatski) mais je n'ai jamais vu un film aussi "suintant" littéralement. Ce sont des paysages boueux (il pleut très souvent), des hommes et des femmes avec des trognes inoubliables (beaucoup sont édentés), mais surtout des plans superbes (dont l'un dans une sorte de couloir : il y a un rideau d'eau en arrière plan et on voit surgir un personnage de nulle part).
Franchement, ce n'est pas l'histoire qui m'a le plus passionné mais les plans : ils sont la plupart du temps habité par énormément de personnages dans un joyeux b...el organisé. Des mains nous bouchent littéralement la vue, des personnages s'arrêtent pour nous regarder frontalement.
J'ai quelques fois pensé au cinéaste hongrois Béla Tarr !
Mais, il faut quand même s'accrocher. Mais bon, c'est son dernier (le cinéaste est mort récemment). Et c'est toujours bien de voir le dernier plan d'une œuvre qui est très intéressante !
J'ai vu l'Armée des douze singes, mais pas le film qui l'a inspiré. Voilà donc une idée.
Une très bonne ! ;)
*Il est difficile d'être un dieu, pardon.
Il y a de très bonnes critiques, comme il y en a de très mauvaises. Je l'ai vu hier soir (et en même temps, il y a une rétrospective de l’œuvre de Guerman à la Cinémathèque Française, où les séances sont très rapidement pleines !) et c'est sûr que c'est un sacré morceau. Je ne connais pas le texte original (des frères Strougatski) mais je n'ai jamais vu un film aussi "suintant" littéralement. Ce sont des paysages boueux (il pleut très souvent), des hommes et des femmes avec des trognes inoubliables (beaucoup sont édentés), mais surtout des plans superbes (dont l'un dans une sorte de couloir : il y a un rideau d'eau en arrière plan et on voit surgir un personnage de nulle part).
Franchement, ce n'est pas l'histoire qui m'a le plus passionné mais les plans : ils sont la plupart du temps habité par énormément de personnages dans un joyeux b...el organisé. Des mains nous bouchent littéralement la vue, des personnages s'arrêtent pour nous regarder frontalement.
J'ai quelques fois pensé au cinéaste hongrois Béla Tarr !
Mais, il faut quand même s'accrocher. Mais bon, c'est son dernier (le cinéaste est mort récemment). Et c'est toujours bien de voir le dernier plan d'une œuvre qui est très intéressante !
Je l'ai vu ce matin à Beaubourg et je partage tes impressions. Un film très étrange qui aurait aussi bien pu durer 2h de moins que 2h de plus. Pendant longtemps, l'histoire stagne complètement et c'est une succession de plans fixes et de traveling virtuoses avec en effet un écran qui dégorge de toute part avec un enchevêtrement de corps, d'objets et d'immondices qui confine parfois à une grande foire au freaks scatophile. On marche constamment sur un fil entre écoeurement et magie. Plusieurs personnes ont quitté la salle avant la fin et j'ai parfois trouvé le temps long, mais à d'autres moments, j'étais complètement happé. Un film étrange dans lequel je ne sais pas s'il faut voir une métaphore de la Russie actuelle, le constat selon lequel "face à l'obscurantisme qui vient, on est dans la merde jusqu'au cou" (Cahiers du Cinéma), une espèce de film de super-héros à la russe et à la sauce médiévale (après avoir tué tout le monde, le héros-demi-dieu déclare que si on laisse les gris gouverner, les noirs l'emportent bientôt -- phrase que n'auraient pas reniée les vigilantes néo-fascistes de Marvel) ou juste une splendide esthétique de la merde.
Hier soir vu "Jupiter" de Andy Wachowski et Lana Wachowski (Matrix, Cloud Atlas...). Mouais. Visuellement très bien fait, esthétisme très sympa. Sinon de la SF archi-classique, au scénario sans aucune imagination. Dommage, car ce film avait vraiment un bon potentiel. Le début est prometteur, la suite se laisse aller à la facilité.
Hier soir vu "Jupiter" de Andy Wachowski et Lana Wachowski (Matrix, Cloud Atlas...). Mouais. Visuellement très bien fait, esthétisme très sympa. Sinon de la SF archi-classique, au scénario sans aucune imagination. Dommage, car ce film avait vraiment un bon potentiel. Le début est prometteur, la suite se laisse aller à la facilité.
En même temps difficile de sortir d'une histoire classique de princesse et de "chevalier" dans un space-opéra.
Perso, j'ai bien aimé dans le scénario,
ATTENTION SPOILER : la notion de prélèvement de l'espèce humaine à des fins commerciales ainsi que certaines scènes comme celle du mariage (contraint) dans le vaisseau spatial qui mélange de tradition (présence d'un prêtre) et futurisme (les alliances virtuelles) ou celle dans laquelle les protagonistes perdent leur temps dans les méandres d'une administration extra-terrestre rappelant un peu le "Brazil" de Terry Gilliam.
Visuellement, le film m'a rappelé un peu l'univers de Jodorowsky. Il est loin le temps des maquettes de vaisseaux spatiaux. Ces derniers sont ici beaucoup trop complexes et tordus pour se passer d'images de synthèse.
Par contre je n'ai pas aimé l'interprétation.
De toute façon, film réservé aux fans de SF.
Vus mardi dernier l'équivalent, consacré aux dernières années de Rembrandt, du film-documentaire cité plus haut sur Vermeer.
Etude et analyse effectuée à l'occasion de l'exposition conjointe Rijksmuseum / National Gallery. Qu'on partage ou non les analyses des intervenants (tous spécialistes ou familiers du XVIIe siècle hollandais), ces derniers n'occultent pas le regard porté sur les oeuvres dans des conditions, il faut l'avouer, souvent bien meilleures que sur place.
Pour les amateurs, à voir.
Etude et analyse effectuée à l'occasion de l'exposition conjointe Rijksmuseum / National Gallery. Qu'on partage ou non les analyses des intervenants (tous spécialistes ou familiers du XVIIe siècle hollandais), ces derniers n'occultent pas le regard porté sur les oeuvres dans des conditions, il faut l'avouer, souvent bien meilleures que sur place.
Pour les amateurs, à voir.
Hier soir vu "Jupiter" de Andy Wachowski et Lana Wachowski (Matrix, Cloud Atlas...). Mouais. Visuellement très bien fait, esthétisme très sympa. Sinon de la SF archi-classique, au scénario sans aucune imagination. Dommage, car ce film avait vraiment un bon potentiel. Le début est prometteur, la suite se laisse aller à la facilité.
En même temps difficile de sortir d'une histoire classique de princesse et de "chevalier" dans un space-opéra.
Perso, j'ai bien aimé dans le scénario,
ATTENTION SPOILER : la notion de prélèvement de l'espèce humaine à des fins commerciales ainsi que certaines scènes comme celle du mariage (contraint) dans le vaisseau spatial qui mélange de tradition (présence d'un prêtre) et futurisme (les alliances virtuelles) ou celle dans laquelle les protagonistes perdent leur temps dans les méandres d'une administration extra-terrestre rappelant un peu le "Brazil" de Terry Gilliam.
Visuellement, le film m'a rappelé un peu l'univers de Jodorowsky. Il est loin le temps des maquettes de vaisseaux spatiaux. Ces derniers sont ici beaucoup trop complexes et tordus pour se passer d'images de synthèse.
Par contre je n'ai pas aimé l'interprétation.
De toute façon, film réservé aux fans de SF.
Je suis fan de SF mais je n'ai pas du tout aimé ce film. C'est une suite de séquences semblables les unes aux autres : rencontre avec un membre de la triade (les deux frangins et la sœur), puis sauvetage par le garde du corps (c'est peut-être caricatural mais je l'ai ressenti de cette manière), ce qui ne laisse aucun suspens. Les personnages sont insipides (dans la catégorie space opera, la princesse Leia est plus intéressante !).
C'est bien dommage car les Wachowski ont quand même fait de très bonnes propositions comme la trilogie Matrix et des propositions plus moyennes mais quand même intéressantes comme Cloud Atlas.
Il y a quand même une séquence que j'ai bien aimé (et oui ;) !) : la scène avec les abeilles (numériques).
Le plus gros défaut du film c'est de ne pas exploiter assez bien ses bonnes idées (comme celle que tu cites, Kalie) et de se contenter du minimum.
J’ai arrêté de regarder les films de SF et de super-héros Marvel à gros budget, tous tellement formatés et prévisibles qu’ils en sont ennuyeux (Matrix 1 a été une très agréable surprise de ce point de vue, enfin un film original et qui sortait des sentiers battus). Quand j’allais les voir, en salle ou chez moi, j’ai toujours ensuite éprouvé un sentiment de déception et celui de m’être fait avoir et d’être pris pour un imbécile. J’y retournais pourtant, car la SF et les super-héros, c’étaient mes dadas préférés quand j’étais ado. Mais à force de constater qu’au-delà des effets spéciaux toujours plus impressionnants, scénaristiquement les films se suivent et se ressemblent, et j’ai fini par en être totalement dégouté…
Pour bien apprécier la SF et les super-héros aujourd’hui, il faut en lire les romans, ou pour les super-héros, les BD, qui en reste le format parfait pour ça.
Pour bien apprécier la SF et les super-héros aujourd’hui, il faut en lire les romans, ou pour les super-héros, les BD, qui en reste le format parfait pour ça.
Un peu le même sentiment que Cédelor à ceci prêt que je l'étendrais même à tout le cinéma hollywoodien dont je me lasse de plus en plus. Tout n'est pas à jeter et ils savent faire le show et produire des films agréables, mais entre les super héros qui reviennent chaque année comme des vacances au Touquet et les biopics larmoyants et/ou patriotique (American Sniper, par exemple, estampillé chef d'oeuvre parce qu'il porte la marque Eastwood comme des chaussures une virgule, ce sera sans moi), on s'emmerde un peu. Cette année, par exemple, les films qui m'ont le plus marqué sont turc (Winter Sleep), russe (Leviathan), chinois (A touch of sin), canadien (Mommy), japonais (Le vent se lève et Le conte de la Princesse Kaguya), danois (Nymphomaniac 1), malien (Timbuktu). Le seul film estampillé Hollywood qui m'ait marqué en est une dénonciation : Maps to the stars de Cronenberg, très imparfait, mais qui au moins en avait !
J'ai revu, hier soir, Parlez-moi de vous, avec Karin Viard. Il est sensible, assez émouvant, bien qu'un peu voyeur, et sans se montrer inoubliable pour autant. C'est dommage, car la prestation de l'actrice principale vaut la peine, comme souvent. Celle de Nicolas Duvauchelle paraît plus transparente.
Un peu le même sentiment que Cédelor à ceci prêt que je l'étendrais même à tout le cinéma hollywoodien dont je me lasse de plus en plus. Tout n'est pas à jeter et ils savent faire le show et produire des films agréables, mais entre les super héros qui reviennent chaque année comme des vacances au Touquet et les biopics larmoyants et/ou patriotique (American Sniper, par exemple, estampillé chef d'oeuvre parce qu'il porte la marque Eastwood comme des chaussures une virgule, ce sera sans moi), on s'emmerde un peu. Cette année, par exemple, les films qui m'ont le plus marqué sont turc (Winter Sleep), russe (Leviathan), chinois (A touch of sin), canadien (Mommy), japonais (Le vent se lève et Le conte de la Princesse Kaguya), danois (Nymphomaniac 1), malien (Timbuktu). Le seul film estampillé Hollywood qui m'ait marqué en est une dénonciation : Maps to the stars de Cronenberg, très imparfait, mais qui au moins en avait !
C'est vrai que les très bons films de SF sont de plus en plus rare. Le dernier chef d’œuvre (sans compter les films de super-héros), je l'ai vu en 2013 : Le Transperceneige de Joon-ho Bong. Après, c'est plus compliqué. Les producteurs sont de plus en plus frileux et ne produisent que ce qui va marcher à coup sûr, d'où les franchises rallongées à l'infini de type "Transformers" et les comics. Ce qui est terrifiant, c'est cette guerre entre les différentes maisons de productions pour se garder le monopole des franchises avec le dernier rebondissement en dates (spiderman quitte Sony pour aller chez Marvel contre monnaie sonnante et trébuchante). D'ailleurs, cette guerre se retraduisait dans les films même : dans le dernier spiderman, on avait droit à une séquence post-générique ridicule (et de mauvaise qualité) où on voyait un extrait du dernier X-Men (ce qui laissait peut-être sous-entendre une alliance entre les deux gros studios, la Fox et Sony, alliance, qui du coup ne s'est pas faite).
De plus, les films de super-héros cachent parfois des idées vraiment nauséabondes comme le dernier Superman où le justicier doit choisir de renier son pays d'origine pour devenir un parfait américain. Et ça juste après des attentats qui a secoué le pays..... Je me souviens que le réalisateur Zack Snyder avait adapté Watchmen qui était le parfait antisuperman et qui montrait bien le côté fascisant des super-héros.
Mais, quand même, parmi tous ces films, parmi toute cette machinerie capitaliste pure et dure, je sauverais quand même deux trois films. Ce serait les deux derniers X-Men, Avengers et même Les Gardiens de la galaxie qui sont, pour moi, très intéressants. Devant lesquels j'ai passé de très bons moments et qui posaient de bonnes questions (pour des blockbusters, c'est quand même pas mal !). Déjà la question du collectif. Dans Avengers et Les gardiens, se pose la question de la création d'un collectif. La sociologue Danièle Kergoat (pour les luttes infirmières notamment) l'a bien démontré en partant du principe qu'un groupe devient un collectif qu'en mettant un but en commun. Et pour X-Men, la création de Magneto est juste géniale.....
A vous, les studios ;)
Vu ce jour avec mes enfants "Bob l'éponge, un héros sort de l'eau" et on a aimé. J'ai retrouvé dans la première partie en dessins animés classiques (heureusement la plus longue) l'humour régressif sur fond d'histoire sans queue ni tête propre à la série (enfin il y a tout de même un fil conducteur à l'aventure). C'est tellement crétin et décalé que c'est souvent drôle. La deuxième partie du film sur la plage, en images de synthèse, censée être la plus novatrice s'avère moins mordante. Le film lorgne alors du côté des films habituels de super-héros. Antonio Banderas en fait beaucoup trop lors de ses apparitions qui infantilisent ce film pourtant suceptible de plaire aux petits et grands. Si vous ne supportez pas la série animée n'allez pas le voir. Bref, résultat inégal mais drôle, sans répit et fidèle à 90 % à l'esprit de la série.
Merci d'avoir recommandé La jetée - j'essaierai de voir L'Armée des douze singes, d'autant que ma culture-Bruce-Willis est quasi inexistante ihi.
En même temps difficile de sortir d'une histoire classique de princesse et de "chevalier" dans un space-opéra.
C'est pas faux Kalie, et c'est cela je trouve qui est quand même paradoxal: on arrive à faire des effets visuels époustouflants, mais le scénario ou même le travail sur les émotions et les personnages est vraiment souvent bâclé je trouve.
Les personnages sont insipides (dans la catégorie space opera, la princesse Leia est plus intéressante !).
Tout à fait d'accord Alouette ! Je me suis même dis que Jupiter Jones n'était vraiment là que pour faire "joli" !"
Il y a quand même une séquence que j'ai bien aimé (et oui ;) !) : la scène avec les abeilles (numériques).
Oui, scène très belle, et poétique, qui m'a donné l'impression à ce moment qu'on était un cran au-dessus de la production moyenne des films de SF.
je viens de revoir "le huitième jour" (un peu après Toto le héros). Jaco van Dormael ne produit pas beaucoup. C'est dommage; j'ai bien pleuré.
J'ai découvert quant à moi le "festival du film d'amour" , avec une belle programmation, dans le modeste village de Saint-Amour (2500 habitants) dans le Jura. C'est vraiment bien que dans le milieu rural il y ait encore des gens qui organisent ce genre d'évènement, avec cette programmation là (http://paysdesaintamour.fr/les-animations-culturel…), à la fois pointue et populaire.
Ils ont une belle salle, les gens de Saint-Amour, on a pu y voir samedi soir "Magic in the Moonlight" de Woody Allen (qu'on avait loupé chez nous): pas un grand film, mais une comédie romantique bien sympathique, avec le jazz des années trente en fond et la charmante Emma Stone. Je dois dire que pour l'instant de ce que j'ai vu de Woody Allen je préfère ses films "sombres" (Match Point) à ses comédies.
Ils ont une belle salle, les gens de Saint-Amour, on a pu y voir samedi soir "Magic in the Moonlight" de Woody Allen (qu'on avait loupé chez nous): pas un grand film, mais une comédie romantique bien sympathique, avec le jazz des années trente en fond et la charmante Emma Stone. Je dois dire que pour l'instant de ce que j'ai vu de Woody Allen je préfère ses films "sombres" (Match Point) à ses comédies.
En parlant de noir et blanc, quelqu'un a-t-il vu Ida ? D'après les critiques c'est un film magnifique et poignant...
Cet apres-midi, en principe.
Voila 2 semaines que j'en reporte le visionnage, sachant que je vais encore en sortir avec le coeur au bord des yeux.
Tiens moi au courant !
Eh!Bien, Encyclo, je suis sortie tellement "sonnee", dans un tel etat second que je suis allee au bord de la mer me rafraichir l'esprit et, pourtant, je sais que je vais retourner le voir.
Au premier abord, l'on pourrait penser a une oeuvre cinematographique esthetisante, n'offrant a la vision du spectateur qu'une suite de tableaux chromatiques, du noir integral au blanc absolu.
Cependant, tel n'est pas le propos du film.
Ce chromatisme, cette esthetique de l'image dans des plans fixes assez souvent allant du plus sombre au bkanc inmacule n'est la qu'en appui visuel du propos: l'attitude, le comportement des- ou de certains?- polonais, pendant cette periode de leur 'Histoire dans leurs relations et leurs comportements vis a vis des juifs, Histoire dont on sait qu'elle a toujours ete tres douloureuse puisqu'exluante en general.
Symbolique historique mais egalement symbolique de l'Homme dans ses contradictions, son ambivalence.
Le Bien et le Mal.
Un film symbole epuratoire.
(J'ai lu beaucoup de livres ayant trait a cette periode de l'Histoire en relation avec mes recherches constantes sur l'histoire des juifs dans l'Histoire et ce film, dans chacun de ses plans, me ramenait a d'anciennes lectures).
Entre autres recompenses multiples et meritees, un Oscar pour Ida, sublime, eblouissant!
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