Pfff je viens de voir que la projection de Moonrise Kingdom s'arrête demain au ciné Victor Hugo (un tout tout petit ciné), donc je crains de ne pas pouvoir voir le film (en tout cas sur écran cinématographique...).
Je suis tarte, je n'avais pas cliqué SUR les jours pour voir les horaires, donc il passe encore!
J'irai dimanche je pense.
Ca y est, j'ai vu "Moonrise Kingdom" cet a.m, et je m'en viens faire mon petit topo:
Alors sur ce coup là, nul doute que j'ai aimé, et nul doute que je le reverrai volontiers (dans 6 mois quand il passera sur Canal + je l'espère!).
Un casting excellent, avec une mention spéciale pour Bruce Willis, que j'ai trouvé très très très juste, tout en retenue et d'une grande sobriété sans pour autant être froid et sans envergure. Emouvant.
Un univers très sixties, du générique en passant par les décors, la musique, les fringues, les gros plans sur les objets, les travellings dans la maison etc...de délicieuses petites séquences visuelles (les 3 frangins Bishop n'ont pas un grand rôle, et ils ne parlent quasiment jamais, mais alors leur présence est vraiment porteuse de l'atmosphère ambiante!), et des couleurs et des paysages magnifiques.
Sur le fond, je n'y vois pas du tout pour ma part un film pour enfants. C'est un film sur l'enfance, et encore, sur ce moment de la vie où on est encore enfant mais où on n'aspire qu'à quitter cet état en singeant les adultes alors qu'on n'y est ni prêt ni préparé.
Sur l'envie, le besoin de faire peau neuve, et c'est bien l'adulte qui est interpellé je trouve dans ce film: quel est son rôle à ce moment là? Qu'est-ce que l'autorité? Comment se positionner?
Et, et c'est le cas ici, comment aider et assumer de son mieux son rôle d'adulte lorsque le (les) enfants sont atypique(s), foncièrement différent(s)?
Derrière le côté potache et bon enfant j'y ai vu beaucoup de gravité.
Dans l'ensemble, j'ai ressenti plus de "pincements" que d'envies de rire.
Même si bien sûr j'ai ri et je me suis amusée. Surtout lorsque Suzy (j'aurais pris la même chose qu'elle dans mes bagages!) et Sam essaient d'étancher leur soif et faim (surtout la soif!!!) avec les moyens du bord.
La scène qui m'a fait le plus rire est celle du "mariage", notamment quand ils sont vers le trampoline, mais personne n'a vraiment ri à ce moment là dans la salle donc je doute que ce soit le même passage dont tu parles, Stavroguine.
Je le conseille donc vivement.
Je ne connaissais pas l'univers de Wes Anderson et ça ne m'a pas du tout empêché je pense d'apprécier le film à sa juste valeur, et du coup ça me donne franchement envie de regarder les autres.
Alors sur ce coup là, nul doute que j'ai aimé, et nul doute que je le reverrai volontiers (dans 6 mois quand il passera sur Canal + je l'espère!).
Un casting excellent, avec une mention spéciale pour Bruce Willis, que j'ai trouvé très très très juste, tout en retenue et d'une grande sobriété sans pour autant être froid et sans envergure. Emouvant.
Un univers très sixties, du générique en passant par les décors, la musique, les fringues, les gros plans sur les objets, les travellings dans la maison etc...de délicieuses petites séquences visuelles (les 3 frangins Bishop n'ont pas un grand rôle, et ils ne parlent quasiment jamais, mais alors leur présence est vraiment porteuse de l'atmosphère ambiante!), et des couleurs et des paysages magnifiques.
Sur le fond, je n'y vois pas du tout pour ma part un film pour enfants. C'est un film sur l'enfance, et encore, sur ce moment de la vie où on est encore enfant mais où on n'aspire qu'à quitter cet état en singeant les adultes alors qu'on n'y est ni prêt ni préparé.
Sur l'envie, le besoin de faire peau neuve, et c'est bien l'adulte qui est interpellé je trouve dans ce film: quel est son rôle à ce moment là? Qu'est-ce que l'autorité? Comment se positionner?
Et, et c'est le cas ici, comment aider et assumer de son mieux son rôle d'adulte lorsque le (les) enfants sont atypique(s), foncièrement différent(s)?
Derrière le côté potache et bon enfant j'y ai vu beaucoup de gravité.
Dans l'ensemble, j'ai ressenti plus de "pincements" que d'envies de rire.
Même si bien sûr j'ai ri et je me suis amusée. Surtout lorsque Suzy (j'aurais pris la même chose qu'elle dans mes bagages!) et Sam essaient d'étancher leur soif et faim (surtout la soif!!!) avec les moyens du bord.
La scène qui m'a fait le plus rire est celle du "mariage", notamment quand ils sont vers le trampoline, mais personne n'a vraiment ri à ce moment là dans la salle donc je doute que ce soit le même passage dont tu parles, Stavroguine.
Je le conseille donc vivement.
Je ne connaissais pas l'univers de Wes Anderson et ça ne m'a pas du tout empêché je pense d'apprécier le film à sa juste valeur, et du coup ça me donne franchement envie de regarder les autres.
Ca donne envie, d'autant plus que j'ai lu une très bonne critique. J'irai le voir.
Ah chouette, j'espère que tu aimeras, et même si ce n'est pas le cas que tu viendras nous donner ton avis!
Le soir tard, j'écoute des films sur internet. Beaucoup de films sur Hitler et le national-socialisme entre autres :
http://youtube.com/watch/…
"La Chute" en français :
http://youtube.com/watch/…
"Hitler, la naissance du mal" avec Robert Carlyle que j'aime beaucoup :
http://youtube.com/v/…
"La bataille de Stalingrad", excellent documentaire :
http://youtube.com/v/…
"La fin mystérieuse d'Adolf Hitler" :
http://www.youtube.com/v/GD6EzZtV89g&autoplay=1
http://youtube.com/watch/…
"La Chute" en français :
http://youtube.com/watch/…
"Hitler, la naissance du mal" avec Robert Carlyle que j'aime beaucoup :
http://youtube.com/v/…
"La bataille de Stalingrad", excellent documentaire :
http://youtube.com/v/…
"La fin mystérieuse d'Adolf Hitler" :
http://www.youtube.com/v/GD6EzZtV89g&autoplay=1
J'ai oublié "Le dictateur" de Charlie Chaplin, toujours très plaisant à regarder. Son imitation d'Hitler est absolument hilarante surtout lors de ses discours et quand il joue avec le ballon représentant la terre...
http://youtube.googleapis.com/v/…
http://youtube.googleapis.com/v/…
Je me suis concoctée une pile de films à voir ou revoir (comme si y'avait déjà pas assez des livres..).
J'ai commencé par Tetro.
Alors je trouve que c'est un très très grand et beau film.
Cinématographiquement c'est vraiment très riche.
D'emblée on est immergé dans un univers inquiétant, on sent qu'on va dans quelque chose de bancal (les noms du générique penchés, la première scène ou l'arrêt de bus est penché aussi, le noir et blanc sauf par moments, les plongées, les gros plans), de mystérieux et d'oppressant. On est captivé.
Il y a vraiment un travail fantastique autour de la lumière (j'y vois le thème central du film: fuir la lumière qui aveugle, éblouit et fait oublier ce qu'il y a autour, mais sortir de l'ombre, aussi, bref trouver le "bon éclairage dans sa vie"), avec le soleil, les ampoules, les projecteurs etc....
Les acteurs sont tous très bons mais Vincent Gallo est excellentissime et criant de vérité.
Pour le fond une histoire très forte, émouvante, dans laquelle on progresse à tâtons.
Un film fort.
A voir!
J'ai commencé par Tetro.
Alors je trouve que c'est un très très grand et beau film.
Cinématographiquement c'est vraiment très riche.
D'emblée on est immergé dans un univers inquiétant, on sent qu'on va dans quelque chose de bancal (les noms du générique penchés, la première scène ou l'arrêt de bus est penché aussi, le noir et blanc sauf par moments, les plongées, les gros plans), de mystérieux et d'oppressant. On est captivé.
Il y a vraiment un travail fantastique autour de la lumière (j'y vois le thème central du film: fuir la lumière qui aveugle, éblouit et fait oublier ce qu'il y a autour, mais sortir de l'ombre, aussi, bref trouver le "bon éclairage dans sa vie"), avec le soleil, les ampoules, les projecteurs etc....
Les acteurs sont tous très bons mais Vincent Gallo est excellentissime et criant de vérité.
Pour le fond une histoire très forte, émouvante, dans laquelle on progresse à tâtons.
Un film fort.
A voir!
:)
Les Adieux à la reine de Benoît Jacquot.
On accourt à Versailles pour honorer les froufrous qui, de l’homme, troublent l’âme. Après la prise de la Bastille, la décollation suit la récréation à la Cour. Prend ainsi fin la course à l’affût des secrets, aussi peu à l’abri des indiscrétions que celui de Polichinelle. Tous savent ce que chacun fait. Mais curieusement, personne ne sait ce qui se passe dans la rue. On règne par ordre divin. Et quand la grogne populaire atteint le château royal, on pense que la paix se rétablira en deux coups de baguette sur les doigts. Mais le peuple a la couenne dure.
L’insouciance règne en maître à Versailles. On croit ferme, à l’instar des punaises, que l’on puisse s’alimenter éternellement à même le sang du peuple. Hélas, en 1789, vient le temps de faire ses adieux à l'usurpation des privilèges. Ainsi la Cour doit fuir pour échapper au gibet. 286 têtes sont recherchées pour rendre hommage à la tranche de Joseph Ignace Guillotin. Et le nom de Marie-Antoinette vient en tête de liste, comme il se doit, pour que roule sa tête au pied d’un peuple ahuri par une royauté insensible à ses besoins.
Comme la reine se doit de sauver son entourage, elle se départit de sa lectrice à qui elle ordonne d’endosser les oripeaux de sa favorite pour que cette dernière, déguisée en valet, échappe aux mains des rebelles si jamais ils interceptent les deux femmes dans leur fuite vers la Suisse. Accepter une mort éventuelle au nom de l’amitié. Amitié apparentée davantage au lesbianisme d’une reine honorée aussi par des amants.
La sobriété caractérise le traitement de ce film. Et c’est un ton teinté par l’intimité qui suit les péripéties. Le résultat ne ressemble en rien aux claironnements des œuvres du genre. Pas de faits d’armes pour émerveiller le cinéphile en quête de sensations fortes. C’est une œuvre d’intériorité qui porte à la réflexion.
Au Québec, nos roitelets tireront-ils une leçon de ce film pour régler la crise actuelle. Vivons-nous notre Révolution française ? Nos grands adolescents ne coupent pas de têtes, mais ils tiennent tête à un gouvernement qui s'entête à équilibrer son budget en se payant la tête d'élèves forcément démunis.
On accourt à Versailles pour honorer les froufrous qui, de l’homme, troublent l’âme. Après la prise de la Bastille, la décollation suit la récréation à la Cour. Prend ainsi fin la course à l’affût des secrets, aussi peu à l’abri des indiscrétions que celui de Polichinelle. Tous savent ce que chacun fait. Mais curieusement, personne ne sait ce qui se passe dans la rue. On règne par ordre divin. Et quand la grogne populaire atteint le château royal, on pense que la paix se rétablira en deux coups de baguette sur les doigts. Mais le peuple a la couenne dure.
L’insouciance règne en maître à Versailles. On croit ferme, à l’instar des punaises, que l’on puisse s’alimenter éternellement à même le sang du peuple. Hélas, en 1789, vient le temps de faire ses adieux à l'usurpation des privilèges. Ainsi la Cour doit fuir pour échapper au gibet. 286 têtes sont recherchées pour rendre hommage à la tranche de Joseph Ignace Guillotin. Et le nom de Marie-Antoinette vient en tête de liste, comme il se doit, pour que roule sa tête au pied d’un peuple ahuri par une royauté insensible à ses besoins.
Comme la reine se doit de sauver son entourage, elle se départit de sa lectrice à qui elle ordonne d’endosser les oripeaux de sa favorite pour que cette dernière, déguisée en valet, échappe aux mains des rebelles si jamais ils interceptent les deux femmes dans leur fuite vers la Suisse. Accepter une mort éventuelle au nom de l’amitié. Amitié apparentée davantage au lesbianisme d’une reine honorée aussi par des amants.
La sobriété caractérise le traitement de ce film. Et c’est un ton teinté par l’intimité qui suit les péripéties. Le résultat ne ressemble en rien aux claironnements des œuvres du genre. Pas de faits d’armes pour émerveiller le cinéphile en quête de sensations fortes. C’est une œuvre d’intériorité qui porte à la réflexion.
Au Québec, nos roitelets tireront-ils une leçon de ce film pour régler la crise actuelle. Vivons-nous notre Révolution française ? Nos grands adolescents ne coupent pas de têtes, mais ils tiennent tête à un gouvernement qui s'entête à équilibrer son budget en se payant la tête d'élèves forcément démunis.
Vu "To Rome with Love". La critique est assassine, ben moi j'ai passé un super moment, même si, il est vrai, c'est inégal,et même si il y a quelques lourdeurs (tout ce qui se passe avec le personnage de Roberto Begnini notamment), même si ça manque effectivement un peu d'unité.
J'adore quand Woody Allen joue dans ses films, et là je le trouve super juste et excellent. Son univers est bel et bien là. Les dialogues font mouche.
Et Rome est mise en valeur...mon Dieu ce que je voudrais aller à Rome...
J'ai lu dans les critiques qu'il manquait quelque chose d'essentiel: un sujet, il me pourtant semble évident: Rome ce sont les pierres, immuables et éternelles, un endroit un peu figé dans le temps, et sans ses rues, dans son poumon, grouillent mille vies et mille histoires, tout bouge en permanence, se côtoient l'éphémère et l'éternel. Le rassurant et l'aléatoire.
J'ai adoré la dernière réplique (qui me donne encore plus envie d'y aller...).
Ah et pour la petite histoire, on fait même une allusion à un de nos membres CL! :-)
Par contre à voir impérativement (c'est toujours le cas, mais là plus que jamais) en VO!
Musique du générique:
http://www.youtube.com/watch?v=Z-DVi0ugelc
Maintenant il faut que je m'attaque sérieusement à ma pile de DVD à voir/revoir, je crois que je vais commencer par revoir "Les yeux noirs" avec un Mastroianni au sommet de son art.
J'adore quand Woody Allen joue dans ses films, et là je le trouve super juste et excellent. Son univers est bel et bien là. Les dialogues font mouche.
Et Rome est mise en valeur...mon Dieu ce que je voudrais aller à Rome...
J'ai lu dans les critiques qu'il manquait quelque chose d'essentiel: un sujet, il me pourtant semble évident: Rome ce sont les pierres, immuables et éternelles, un endroit un peu figé dans le temps, et sans ses rues, dans son poumon, grouillent mille vies et mille histoires, tout bouge en permanence, se côtoient l'éphémère et l'éternel. Le rassurant et l'aléatoire.
J'ai adoré la dernière réplique (qui me donne encore plus envie d'y aller...).
Ah et pour la petite histoire, on fait même une allusion à un de nos membres CL! :-)
Par contre à voir impérativement (c'est toujours le cas, mais là plus que jamais) en VO!
Musique du générique:
http://www.youtube.com/watch?v=Z-DVi0ugelc
Maintenant il faut que je m'attaque sérieusement à ma pile de DVD à voir/revoir, je crois que je vais commencer par revoir "Les yeux noirs" avec un Mastroianni au sommet de son art.
"il me semble pourtant"
C'est bien "Melancholia"?? (réponse urgente, ça passe ce soir! :-)
Melancholia à la télé? Selon moi, il te faut fermer les volets, éradiquer toutes les sources de distraction possibles, te coller à ton téléviseur, ouvrir grands yeux et oreilles... et t'immerger dedans.
C'est bien "Melancholia"?? (réponse urgente, ça passe ce soir! :-)
Génial, Melancholia. Par contre, comme Lobe le laisse entendre, je pense que j'aurais beaucoup de mal à le voir ailleurs qu'au ciné (mais c'est de plus en plus vrai pour la plupart des films en ce qui me concerne). Selon moi, il aurait largement plus mérité la Palme que Tree of Life.
Quant à moi, je me suis acheté Mystères de Lisbonne pour lequel la critique est unanime mais que j'avais râté au ciné.
Oh merci Lobe et Stavro, vous êtes vraiment sympas d'avoir répondu aussi vite! Et en plus, vous êtes d'accord, ça ne gâche rien, donc je vais regarder (à la télé, oui, je sais bien, je suis bien d'accord avec vous, c'est un peu frustrant et ça ne vaudra jamais un grand écran...).
Je n'aurai aucun problème pour éradiquer les sources de distraction, Lobe, puisque je je suis seule. Par contre fermer les volets quand il fait encore jour, j'ai un peu de mal....
Stavro tu nous diras, pour les Mystères de Lisbonne (pas vu non plus....)
Je n'aurai aucun problème pour éradiquer les sources de distraction, Lobe, puisque je je suis seule. Par contre fermer les volets quand il fait encore jour, j'ai un peu de mal....
Stavro tu nous diras, pour les Mystères de Lisbonne (pas vu non plus....)
Bon...je pense que "Melancholia", soit on adore, soit on déteste, ben moi j'ai détesté, du début à la fin, j'ai trouvé ça d'un ennui mortel, les incessants mouvements de caméra m'ont fait mal aux yeux (surtout dans la partie 1 en fait), je n'ai pas cru une seule seconde à cette histoire de météorite, il me tardait qu'on en termine, et franchement si y'avait pas eu Charlotte Gainsbourg qui a vraiment réussi à me retenir, je n'aurais même pas regardé jusqu'au bout je crois!
Merci quand même, hein, vous n'y êtes pour rien! :-)
Merci quand même, hein, vous n'y êtes pour rien! :-)
Une nouvelle adaptation de "Jane Eyre" sort le 25 Juillet avec entre autres: Mia Wasikowska- Alice dans la version de Burton-, Michaël Fassbender, Judi Dench.
La critique que j'en ai lue me donne envie de le voir-le revoir- dans une version "plus gothique et glaçante tout en restant fidèle au romantisme flamboyant"(sic).
La critique que j'en ai lue me donne envie de le voir-le revoir- dans une version "plus gothique et glaçante tout en restant fidèle au romantisme flamboyant"(sic).
@Sissi: j'ai également beaucoup aimé "moonrise Kingdom", il m'a "transporté"!
J'ai eu la chance de voir l'avant-première d'"Amour" de HANEKE au festival Paris-Cinéma.
Je ne veux pas en dire trop, mais c'est un film magnifique avec de grands comédiens! Allez-y dès que vous en aurez l'occasion (sortie en Octobre je crois)!
J'ai eu la chance de voir l'avant-première d'"Amour" de HANEKE au festival Paris-Cinéma.
Je ne veux pas en dire trop, mais c'est un film magnifique avec de grands comédiens! Allez-y dès que vous en aurez l'occasion (sortie en Octobre je crois)!
Je suis allé voir Holy Motors, qu'on m'avait vivement conseillé (à l'IGC Rotonde, au métro Vavin, non loin du café la Rotonde et de notre cher Montparnasse 1900).
Si le film est inventif dans sa construction, dans son scénario, j'ai été décontenancé par sa violence, l'aspect vivement glauque, du film. J'avoue avoir passé deux heures pénibles.
J'ai passé un meilleur moment hier soir, devant le documentaire sur Victor Hugo, sur France 2.
Si le film est inventif dans sa construction, dans son scénario, j'ai été décontenancé par sa violence, l'aspect vivement glauque, du film. J'avoue avoir passé deux heures pénibles.
J'ai passé un meilleur moment hier soir, devant le documentaire sur Victor Hugo, sur France 2.
Bon...je pense que "Melancholia", soit on adore, soit on déteste, ben moi j'ai détesté, du début à la fin, j'ai trouvé ça d'un ennui mortel, les incessants mouvements de caméra m'ont fait mal aux yeux (surtout dans la partie 1 en fait), je n'ai pas cru une seule seconde à cette histoire de météorite, il me tardait qu'on en termine, et franchement si y'avait pas eu Charlotte Gainsbourg qui a vraiment réussi à me retenir, je n'aurais même pas regardé jusqu'au bout je crois!
Merci quand même, hein, vous n'y êtes pour rien! :-)
Ah, bah, c'est un peu un film de dépressif qui a envie de faire partager sa dépression, intime tout d'abord (première partie), puis face au monde, à la société, à la vie dans son ensemble (seconde partie). Je pense qu'en fait, c'est assez bon signe de ne pas l'apprécier. D'ailleurs, même moi qui l'ai aimé, je ne l'ai pas apprécié - je sais pas si je suis clair. C'est chiant les mecs dépressifs, en fait ! Mais parfois, ils sont remarquables...
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