Douze hommes en colère, de Sidney Lumet.
Je l'adore! Je crois que j'ai la version doublée, bien que ça ne soit pas un problème pour moi, j'écoute plusieurs film en anglais.
C'est aussi un film qu'on avait écouté dans un de mes cours en psychologie, qui montrait les différents rôles d'un groupe: l'arbitre, le meneur, le soumis, l'oublié, l'avocat du diable, le sceptique, l'agressif...
C'est sûr qu'il est très bon.
Dans un genre beaucoup plus léger, j'ai revu, samedi soir, La Fille de Monaco, par Anne Fontaine, avec Fabrice Lucchini, Louise Bourgoin et Roshdi Zem, ainsi que l'actrice Stéphane Audran, que c'est l'occasion de redécouvrir.
C'est agréable et assez drôle. Je passe, à chaque fois, un bon moment, et ça se laisse revoir avec plaisir, même à un moment où on a besoin de décompresser.
C'est agréable et assez drôle. Je passe, à chaque fois, un bon moment, et ça se laisse revoir avec plaisir, même à un moment où on a besoin de décompresser.
J'ai vu hier au cinéma "A coeur ouvert", film adapté d'un roman de M ENARD. Je ne sais pas encore quoi vous en dire sinon qu'il m'a bouleversée...
Vu "A perdre la raison" de Joachim Lafosse avec Emilie Dequenne, Tahar Rahim et Niels Arestrup dans les rôles principaux.
Un film extrêmement puissant, intense, dramatique, avec de multiples gros plans sur les visages, (de face ou non, auxquels s'ajoutent une musique un peu baroque) qui renforcent l'univers oppressant de la lente descente aux enfers d'une femme (qui m'épouvante mais que malgré tout je plains).
Perte de contrôle, soumission, dépendance affective, burn out maternel et surtout solitude sont exprimés avec justesse
Le passage au Maroc est éloquent à ce sujet (la solitude).
Les acteurs sont tous excellents, mais la prestation d'Emilie Dequenne est époustouflante.
A voir, mais pas si on souhaite aller au ciné pour se remonter le moral, la fin glace le sang.
Un film extrêmement puissant, intense, dramatique, avec de multiples gros plans sur les visages, (de face ou non, auxquels s'ajoutent une musique un peu baroque) qui renforcent l'univers oppressant de la lente descente aux enfers d'une femme (qui m'épouvante mais que malgré tout je plains).
Perte de contrôle, soumission, dépendance affective, burn out maternel et surtout solitude sont exprimés avec justesse
Le passage au Maroc est éloquent à ce sujet (la solitude).
Les acteurs sont tous excellents, mais la prestation d'Emilie Dequenne est époustouflante.
A voir, mais pas si on souhaite aller au ciné pour se remonter le moral, la fin glace le sang.
"s'ajoute"+ oubli de point.
J'ai revu Melancholia et j'ai pleuré encore comme une gamine, c'est tellement déprimant.
Avec Lars von Trier, c'est soit j'aime ou déteste. Il a réalisé certains de mes films préférés (Dancer in the Dark avec Bjork, Dogville) et il a des films que je ne suis pas capable de sentir (Antichrist, Manderland). J'ai l'impression que son prochain film The Nymphomaniac va être de la deuxième catégorie. Il y aura apparemment de plusieurs vraies scènes de sexe. C'est fréquent dans le genre arthouse et j'ai toujours trouvé ça désespéré.
Avec Lars von Trier, c'est soit j'aime ou déteste. Il a réalisé certains de mes films préférés (Dancer in the Dark avec Bjork, Dogville) et il a des films que je ne suis pas capable de sentir (Antichrist, Manderland). J'ai l'impression que son prochain film The Nymphomaniac va être de la deuxième catégorie. Il y aura apparemment de plusieurs vraies scènes de sexe. C'est fréquent dans le genre arthouse et j'ai toujours trouvé ça désespéré.
Je viens de revoir Tout sur ma mère (Todo sobre mi madre). Après avoir avalé les douleurs et les fantasmes récurrents d'Almodovar, ce film reste un bel hommage aux femmes et aux comédiennes.
Moi aussi j'avais beaucoup aimé ce film.
Si tu passes par là (ou d'autres!), du même réalisateur "La piel que habito" c'est bien? Ca passe ce soir, mais je ne sais pas pourquoi si j'aime bien Almodovar là en revanche je ne le sens pas, ce film, il ne m'attire pas...je sais que tu as avais parlé au moment de sa sortie mais je ne sais pas quelle page c'est et j'ai une pu la flemme de rechercher....
Merci d'avance!
Si tu passes par là (ou d'autres!), du même réalisateur "La piel que habito" c'est bien? Ca passe ce soir, mais je ne sais pas pourquoi si j'aime bien Almodovar là en revanche je ne le sens pas, ce film, il ne m'attire pas...je sais que tu as avais parlé au moment de sa sortie mais je ne sais pas quelle page c'est et j'ai une pu la flemme de rechercher....
Merci d'avance!
tu "en" avais parlé
Si tu passes par là (ou d'autres!), du même réalisateur "La piel que habito" c'est bien? Merci d'avance!
Le début ne m'avait pas emportée, et puis progressivement le charme a agi, cela dit c'est vrai qu'il est assez déstabilisant. Il a été décrit comme un film glacé, chirurgical, mais je trouve qu'il est plus que ça. C'est peut être simpliste, mais je juge souvent un film à la mémoire que j'en ai, et certaines scènes de celui ci sont encore fermement vissées dans mon ciboulot.
(je ne sais pas si ça peut t'aider)
Si Lobe ça m'aide, et ça me donne plutôt envie de le voir, sauf que là j'ai raté le début...et comme je déteste prendre un film en cours je le verrai quand il repassera.
Mais merci, tu es sacrément réactive en tout cas! :-)
Mais merci, tu es sacrément réactive en tout cas! :-)
J'ai revu récemment l'Auberge espagnole et Cause toujours, deux comédies plaisantes, la première mettant aimablement en boîte le patchwork européen via un échange Erasmus et quelques clichés à la clé, la seconde étant un vaudeville aimable autour de l'énigmatique muet du quartier qui disparaît dans la nature.
Vu hier soir The We and the I, du français Michel Gondry (réalisateur entre autres de Eternal Sunshine of the spotless mind, film ô combien MERVEILLEUX (mais vraiment)). J'ai aimé cette heure et demie dans un bus rempli de lycéens du Bronx, leur cruauté et leur drôlerie.
C'est dépaysant, vivifiant, poignant, pas gnan-gnan. (moins gnan gnan en tout cas que ces lourdes 'rimes' en "an")
C'est dépaysant, vivifiant, poignant, pas gnan-gnan. (moins gnan gnan en tout cas que ces lourdes 'rimes' en "an")
J'ai vu Chercher Hortense, et j'ai trouvé ça génial. Un peu triste malgré tout, mais ça reste assez drôle. Je crois que ça parle de l'incommunication (entre le père et le fils notamment), et puis les sans-papiers qui peuvent être expulsés pour un simple controle policier. Faut dire que je suis fan de Bacri et qu'il est parfait dans son rôle. Isabelle Carré et les autres acteurs sont tous parfait. Vivement le prochain Jaoui - Bacri, je crois que c'est pour bientôt.
J'ai loué hier Take Shelter, de Jeff Nichols. Visionné sur un écran minuscule, hélas, mais ça n'ôte rien à la puissance de ce film. Par certains points il m'a évoqué Melancholia, même si l'ambiance est l'acteur (fantastique) sont plus torturés. Le film est peut être moins paisible, la tension est parfois insupportable. L'image est somptueuse. (court extrait ici, pour ceux qui seraient intrigués http://allocine.fr/video/…)
* "l'ambiance et l'acteur" plutôt, et la phrase sera plus compréhensible.
Ce matin, je suis allé voir Camille redouble. C'est assez drôle, sensible et déjanté, et mérite d'être vu, sans que cela soit un film marquant à vie. Il est touchant et d'un humour doux-amer.
"Reviens -moi" d'après le roman de Ian McEwan "Expiation". Très bien fait, un peu académique avec une histoire très bien construite. Et dire que ce livre m'est tombé des mains il y a quelques années. Comme quoi il y a des moments pour tel type de livre et d'autres pas. Ce qui relativise nos critiques.
Quelqu'un a-t-il vu "Dans la maison"?
Si oui, un avis?
Si oui, un avis?
Je suis allé voir ce film hier soir, pour Nicole Kidman dans un rôle inédit pour elle et l’histoire (un thriller dans la moiteur d'un bayou de Floride). Au final « Paperboy » est un film racoleur de piètre qualité. Nicole Kidman en bimbo d’une rare vulgarité n’est pas vraiment excitante. Sa scène de masturbation en prison, ses scènes sexuelles bestiales sur une machine à laver (entrecoupées de plans de porcs !) sont gênantes. Le summum est atteint lorsque notre australienne urine sur Zac Efron !! Les mots pi…, bi…, bran…, su… sont fréquents dans sa bouche. Sinon, les acteurs se promènent souvent en slip devant la caméra. On a même droit à une scène de dialogue avec l'un des protagonistes urinant, nu, assis sur la cuvette des toilettes (amis poètes, bonjour !). Ce n’est pas la moiteur qui transpire de ce film mais le mauvais goût. La photographie du film est granuleuse et sale pour faire années 60 mais cela renforce le côté porno-soft. Le bayou est plutôt mal filmé à cause des plans trop serrés sur les personnages. Le rythme du film est lent et mou. Mais le plus décevant, c’est l’enquête sur le meurtre du shérif que le réalisateur délaisse totalement. Aucune révélation à attendre de ce côté-là, mais à la place, on apprend que tel ou tel personnage est homosexuel (on s’en fiche !!!). Comme dans tout nanar qui se respecte, certaines scènes sont involontairement ridicules. Reste qu'avec tant de défauts, "Paperboy" ne laisse pas indifférent.
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